La  Bibliothèque  de  la  ShinRa  corp.

 

 

 

ARTEFACT

 

 

Chapitre V : Le calme et la tempête

 

 

Un silence de mort suit cette révélation, durant lequel tous et toutes réfléchissent longuement. Finalement, Vyse brise le silence.

- Maintenant, vous savez tout ce qu’il est possible de savoir, vous connaissez les tenants et les aboutissants de cette histoire, ainsi que les dangers qui y sont lié. Sachant tout ceci, je vous le demande a nouveau : Etes-vous prêts à me suivre ?

Un nouveau silence s’installe, beaucoup plus court celui-là : Les membres d’AVALANCHE se jaugent du regard et une fois de plus, Cloud sert de porte-parole.

- Nous sommes tous –et toutes- prêt à te suivre Vyse, car même si nous ne sommes pas sûr de croire tout ce que tu as dit, nous avons une certitude : Sauron est incontestablement une menace, sa tentative de nous pousser a nous entre-tuer en est la preuve, et nous avons besoin de l’aide de quelqu’un qui le connaît mieux que nous le connaissons. Pour le reste…

- Tu auras l’occasion de « faire tes preuves » sur le terrain.

La sentence/conclusion de Vincent clos définitivement le débat et après un court voyage, c’est un groupe épuisé qui débarque à Cosmo Canyon, car comme l’a bien résumé Nanaki :

- Pour le moment, nous avons perdu la trace de Sauron et nous sommes tous plus ou moins épuisé. Une bonne nuit de repos nous éclairciras les idées et nous aideras à faire le point.

Après une repas morne et silencieux, les un après les autres, les membres d’AVALANCHE retournent dans leurs chambres pour sombrer dans un sommeil lourd et sans rêves. Finalement, Vyse se retrouve seul sous le ciel noir d’une nuit sans lune, a réfléchir un peu à l’écart de la bougie Cosmos.

Tout se complique… -se dit-il- Face à la puissance de Sauron, notre meilleur atout était l’effet de surprise. Tu parle d’une surprise ! Il devait me surveiller depuis mon arrivée dans ce monde, et préparer ses « tests ». A l’heure qu’il est, il a déjà dut passer à la suite de son plan ; plan dont j’ignore tout par ailleurs ! De quoi pourrait-il avoir besoin pour créer son artefact ? En règle générale…

- Ca a l’air profond ce à quoi tu pense. Tu me fait participer ?

Surpris dans ses pensées, Vyse sursaute et manque de tomber à la renverse, à la grande hilarité de…

- YOUFFIE ! Ca te prend souvent de surprendre les gens comme ça ?

- Je te rappelle que je suis une ninja et que c’est dans ma nature de me déplacer sans bruit (enfin, quand je n’ai pas le mal de l’air). De plus, tu était tellement plongé dans tes pensées que Sauron et toute sa clique auraient pu débarquer sans que tu t’en aperçoive. Tu pensait à quoi exactement ? Maï ?

- Quel que soit le monde, tu est toujours aussi indiscrète.

- Ce n’est pas en changeant de sujet de conversation que tu vas t’en tirer. Alors ?

- De toute manière, ce n’est pas un secret d’état : Je réfléchissait à ce qui risque de se passer demain, a la réaction de Sauron, a…

Vyse laisse sa phrase en suspend et le silence s’installe. Après un long moment, Youffie reprend la parole.

 

- Tu est inquiet n’est-ce pas ? Tu espérait conclure cette histoire le plus rapidement possible et tu te demande quoi faire.

- Ne t’emballe pas ; la situation est grave, mais elle n’est pas si désespérée que cela.

- Elle est assez grave pour te faire perdre le sommeil et t’amener à te triturer les neurones alors que tout le monde dors. Tu n’arriveras à rien comme ça, il faut que tu te force a te détendre ou sinon tu seras dans un tel état que tu d’effondreras tout seul avant même d’affronter ton ennemis.

A peine a-t-elle finit sa phrase que Vyse part dans un grand éclat de rire, qu’il a bien du mal à contrôler.

- Qu’est-ce que j’ai dit de si drôle ?

- Excuse-moi, c’est nerveux : j’ai l’impression d’entendre Maï me faire la morale.

- Elle te manque à ce point ?

- Pardon ?

- Quand tu parle d’elle, j’ai l’impression que tu est ailleurs : Tu soupire, ton regard part dans le vague…

- Je ne pensait pas que cela se voyait autant. Tu a vus juste, j’ai beau revenir auprès d’elle (enfin, de sa prison) le plus souvent possible, j’ai de plus en plus de mal à supporter son absence.

- Vingt ans d’absence, c’est long… D’autant plus que tu as dut lui rester fidèle tout ce temps. Ca ne te pèse pas ?

A ce moment-là, Vyse s’aperçoit que depuis le début de la conversation, Youffie se rapproche un peu plus de lui à chaque phrase et qu’elle est maintenant collée à lui.

- Arrête ce petit jeu, je vois ou tu veut en venir, et je…

Et il rien du tout, car à cet instant Youffie s’accroche à son cou et commence à l’embrasser fougueusement. Vyse commence par essayer de la repousser, mais mollement, sans grande conviction. Il sent soudain une immense fatigue tomber sur ses épaules, la fatigue de ans de fuite, de tueries pour le pouvoir, d’errance ; rajouté au stress des vingt dernières années et à la sensation de gâchis qu’il a en faisant le bilan de la journée. Alors, il arrête de faire semblant de se défendre et se laisse aller, pendant que Youffie laisse doucement glisser a terre ses habits.

A cet instant précis, une image s’imprime dans l’esprit de Vyse, une image brève mais très réaliste. Il voit Maï enfermée dans le sous-sol du palais de Wenceslas, allongée seule sur son lit. Maï qui n’arrive pas à dormir malgré son immense fatigue, qui attend depuis vingt ans et qui se raccroche à un seul espoir pour ne pas sombrer dans la folie. Il vas me sortir d’ici –Se dit-elle-Il fait tout pour me sortir d’ici et il vas y arriver, car c’est exactement ce que je ferait si j’était dans sa situation et lui dans la mienne.

Cette vision produit sur Vyse l’effet d’un choc électrique : il se « réveille » de son apathie et repousse violemment Youffie, qui atterrit à coté de la bougie Cosmos, à demi nue.

- Que…

- Je suis désolé d’avoir été aussi brusque Youffie, mais je ne peut pas… je ne peut pas faire ça à Maï. Et ne me dit pas qu’elle n’en sauras rien ; tu sait très bien que ce n’est pas ça le problème.

Sans dire un mot, Youffie rassemble rapidement ses affaires et par vers sa chambre à une allure qui ressemble à une fuite qu’autre chose. Vyse reste seul quelques instant, puis regagne à son tour sa chambre ; sans se rendre compte qu’il est observé par un corbeau noir comme la nuit, espion parfait au service de Sauron.

Le lendemain matin, l’ambiance est lourde dans la salle commune ou se déroule le repas. Nul ne prononce un mot, pendant que Vyse et Youffie font tout pour que leurs regards ne se croisent pas. Ce silence de mort est brusquement interrompu par la réactivation de Cait Sith, qui n’apporte pas vraiment de bonnes nouvelles .

- J’ai des nouvelles qui ont de fortes chances d’être mauvaises : Un groupe de créatures aussi puissantes qu’inconnues c’est introduit cette nuit dans les ruines des réacteurs de Midgard. Ces choses ont fouillées les ruines toute la nuit et viennent à peine de les quitter !

- Non de &&**ù%&&## ! Qu’est-ce qu’on peut bien prendre dans ce tas de déchets !

- Le matériel dont Sauron à besoin pour créer l’artefact qui vas l’immunisé contre les matérias de votre monde ! Triple abrutis que je suis POURQUOIS N’…

- Plus tard les compliments Vyse ! Pour l’instant il faut intercepter au plus vite ce groupe. Cid, fait démarrer le Hauvent II.

- On peut partir dans trente secondes.

- Cait, tu nous guide jusqu'à ces types

- C’est comme si on y était Cloud.

Une minute plus tard, tout le groupe est embarqué dans leur plus folle course-poursuite aérienne depuis la traque de l’Arme. Cid prend lui-même les commandes et fait des merveilles, au point qu’au bout de dix minutes…

- ON LES TIENS ! Ils sont juste en dessous de nous !

Victoire illusoire, car à l’instant même ou Cid triomphe un phénomène inhabituel se produit. La texture du sol se transforme au point de ressembler à une sorte de pâte visqueuse, pâte qui se modèle toute seule et qui finit par prendre l’apparence d’un portail de granit finement ciselé. Sans hésiter une seconde, le groupe des serviteurs de Sauron pénètre dans cette étrange porte.

- Qu’est-ce que c’est que ça ?

- C’est, Barret, une démonstration du pouvoir de Sauron  : Il vient d’utiliser sous nos yeux sa capacité de créer instantanément une "tanière".

- Un piége, de toute évidence ; dans lequel nous allons devoir nous engager si l’on veut arrêter notre ennemis

- Je croit que Vincent à parfaitement raison : Même avec tout le matériel nécessaire, il faudra des mois à Sauron pour achever son artefact. Cependant, si jamais il rapatrie ce matériel dans son monde, il pourras prendre tout le temps qu’il voudras, car il seras hors d’atteinte : ses pouvoirs sont assez puissant pour m’empêcher d’accéder à son monde. Nous allons donc devoir nous engager dans ce piége si nous voulons le stopper.

- C’est là une regrettable limite posée à ton pouvoir Vyse.

- En ce moment, j’en suis le premier navré Nanaki.

 

A la fin de cet échange de politesses, le Hauvent II se pose à proximité du portail, qui c’est refermé après le passage du groupe ennemi. Avant même que quelqu’un tente quoi que ce soit pour forcer le passage, celui-ci se réouvre et vomi littéralement une horde d’orc, semi-orc et autre gobelins.

- Le comité d’accueil est un peu plus fournis que hier –remarqua Cloud-

- Alors, il vas falloir les tuer encore plus vite –Lui répondit Vyse-

Et joignant le geste à la parole, ce dernier dégaine son Masamune et « accueille » la première vague d’adversaire avec une série d’attaques aussi rapides que puissantes : A chacun des ses coups, 4 ou 5 adversaires mordent la poussière. Rapidement, tous les membres d’AVALANCHE plongent dans le carnage ; Nanaki, Cait Sith, Cid, Tifa, Cloud et Youffie accompagnant Vyse au corps à corps, pendant que Vincent et Barret déciment les archers à distance. Au bout d’une interminable demis-heure de combats, les sbires de Sauron refluent vers la porte, laissant derrière eux un champ de bataille noir de sang et de cadavres.

- On a réussi, la voie est libre.

Cloud pêche par excès d’optimisme, car juste à cet instant le sol se met à trembler, la terre s’ouvre et expulse tout un groupe de dragons-zombies de différentes races, groupe mené par un chef aussi puissant qu’improbable.

- Non de &&**ù%&&## ! BAHAMUT !

Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est bien un Bahamut-zombie qui dirige l’attaque de ces monstruosités en décomposition

- Mais, comment est-ce possible…

- Il est allé dans un monde ou il a rencontré ce Bahamut et l’a transformé pour en faire son esclave ; c’est la seule explication possible.

- Dans l’état ou nous sommes, nous ne feront pas long feu. On vas se replier sur le Hauvent II le temps de refaire le plein de potions X et d’éther turbo. Vyse, est-ce que tu connaît un moyen de ralentir ces choses ?

Vyse ne répond pas à la question de Cloud, il semble brusquement préoccupé par quelque chose et ne prête plus grande attention au combat.

- Vyse, qu’est-ce qui se passe ?

- Quelque chose d’encore plus préoccupant que ces zombies

- C’est possible ça ? –Ironise une Youffie qui retrouve sa langue pour la première fois de la journée-

- Hélas oui. Reculez-vous, je m’occupe de ces choses.

Sans trop comprendre, les membres d’AVALANCHE s’exécutent machinalement, pendant que Vyse se concentre. Juste à cet instant, le Bahamut-zombie, incroyablement rapide malgré son état, se poste devant le groupe et s’apprête à lancer son attaque « Ouroboros ». Alors que sa gueule commence juste à luire sous l’effet de la concentration d’énergie, un monstrueux hurlement retentit et un silhouette massive s’interpose entre le groupe et le monstre. La chose qui vient d’apparaître encaisse l’attaque du zombie sans que cela semble lui poser un problème, et une fois le flash lumineux de l’attaque dissipé, tous le groupe découvre, puissant et majestueux, Chronos !

Passablement énervé par l’attaque du Bahamut, il projette ce dernier sur le groupe de dragons-zombies d’un vigoureux coup d’épaule. Avant même que ses ennemis ne réagissent, une aura aux reflets blanc-bleu enveloppe Chronos, qui crée un double de sa personne, entièrement composé d’énergie pure. Ce double énergétique se jette sur les zombies et s’autodétruit, annihilant ses cibles par la même occasion, sous les yeux des membres d’AVALANCHE, tous plus médusés les uns que les autres.

- C’est incroyable ! –Finit par articuler Tifa-

- Ce qui est encore plus incroyable, c’est que je croyait que tu ne pouvait appeler Chronos à proximité de Sauron.

- Je ne le peut pas, et c’est bien ça qui me préoccupe Barret : Le retour de Chronos prouve que Sauron s’éloigne de plus en plus

- Dans ce cas, il faut se ravitailler et repartir au plus vite.

- C’est inutile madame Tifa, on vous ramène tout ce qui faut

A la surprise générale, les pilotes du Hauvent débarquent, les bras chargés de Potions X, Ether turbo et de divers objets curatifs. Deux minutes plus tard, Vyse et AVALANCHE progressent dans le tunnel situé derrière le portail, pendant que Chronos taille en pièce une nouvelle fournée de zombies.

- Je me sens plus rassuré de savoir que c’est lui qui garde nos arrière.

- La mauvaise nouvelle Coud, c’est que l’on a besoin de lui ICI !

Tifa est on ne peut plus dans le juste, car une masse grognante et hurlante de loup-garous vient de déboucher d’un tournant du couloir. Sans même lui laisser le temps d’esquisser un geste, Tifa brise le crane du premier qui arrive et fait exploser d’un direct du droit le cœur du suivant, qui s’écroule terrassé par l’hémorragie interne. Avant même que le combat ne s’engage plus en avant, Une lueur blanc-bleu entoure la main gauche de Vyse, qui foudroie tous les loup-garous avec une seule attaque magique, d’une puissance phénoménale.

- J’avait un doute après avoir vue l’attaque de Chronos, mais maintenant, c’est une certitude : C’est le Sacre !

- QUOI ! Mais enfin Tifa, c’est impossible !

- Au contraire Cloud, c’est tout à fait possible : C’est bien le sacre que je manipule. Seulement, le simple fait d’être dans la même dimension que Sauron suffit à bloquer cette aptitude.

- L’attaque que tu vient de lancer prouve donc que Sauron a changé de monde.

Un lourd silence s’installe, tout le monde sachant très bien que ce départ signifie l’échec de leur action ; silence brisé par Youffie, qui semble avoir retrouvée une partie de son habituelle bonne humeur.

- Avant de baisser les bras, regardez ce qu’il y a au fond du passage !

Immédiatement, tout le monde se précipite et se retrouve face à ce qui ressemble beaucoup au passage que Vyse avait ouvert la veille lors de ses démonstrations.

- On peut encore le rattraper ! En avant !

Et tout le monde se précipite, y compris Vyse, qui est loin de partager l’enthousiasme de Cloud. Avant que qui que ce soit ne remarque sa mine renfrognée, le groupe débouche sur une plate-forme en roche volcanique rehaussée de décorations finement ciselées, ou règne une chaleur insupportable, en contre-bas duquel se trouve le cratère remplit par un lac de lave d’un volcan en activité. Le monde dans lequel se trouve ce volcan est le plus inhospitalier que l’on puisse imaginer. L’atmosphère est oppressante, quasi irrespirable ; et les émanations volcaniques sont loin d’en être la cause : C’est une sensation qui recouvre la planète entière, qui est recouverte d’un manteau de ténèbres impénétrables et encore plus sombres que la nuit la plus obscure.

- Bienvenue dans la montagne de feu, au cœur de mon empire, là ou mon pouvoir est a son summum.

D’un seul mouvement, tous le groupe se tourne vers sa droite, d’ou ce son qui essaye de ressembler à une voix a jaillit ; et aperçoivent une créature innommable. Comment expliquer l’horreur que dégage cette vision ? Son corps est noyé dans une immense cape d’un noir d’ébène, dont les plis sont agités de convulsions permanente ; comme si elle servait de cage à une horde de créatures gluantes et grouillantes, comme la terre n’en a jamais connu. Entre deux de ces plis, jaillissent des mains qui échappent à toute description. Sont-elles vivantes ou bien s’agit-il de cadavres de mains agitées par dieu sait quel sortilège ? Est-ce des mains humaines ou des griffes volées sur les restes d’une créature innommable ? Impossible de le dire ! Elles sont tout cela à la fois, et bien d’autres choses encore…

Le plus incroyable est la tête de cette chose. Elle est recouverte par une capuche semblable à la cape. Cette capuche semble littéralement vomir une plaque de métal, bombée et polie au point d’être lisse comme un miroir, qui recouvre la partie ou normalement se trouve le visage. Sur la surface de cette plaque, des motifs grotesques en métal repoussé bougent et se transforment en permanence, de manière à reproduire des images des tortures les plus abjectes et les plus inhumaines qui soient. Au milieu de ces horreurs, a hauteur des yeux, s’ouvrent dans le métal deux fentes semblables à des meurtrières. Derrière ces fentes, il n’y a que l’obscurité ; une obscurité au sein de laquelle semble tapie vos pires cauchemars, prêt à prendre vie et à vous déchiqueter.

Ce masque morbide et sadique paraît incapable de transmettre la moindre émotion, et pourtant, lorsque cette créature se met à parler, la partie qui correspond à la bouche se déforme, les yeux/fentes bougent, morbide parodie du mouvement des yeux humains. Rien ne peut décrire ce que l’on ressent face à ce spectacle. Une fois de plus, ils se retrouvent face à cette chose à laquelle Vyse est le premier à nommer.

- Sauron !

 

 

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Notes sur le chapitre 5

Avant tout, je m’excuse auprès des lecteur/trices un peu sensible, ce chapitre de ma fic étant un peu moins « tout public » que les précédents (A ce niveau-là, j’en connaît que cela ne doit pas beaucoup gêner. Hein Deedo ! ^_^)

 

Le titre du chapitre : C’est tout simplement une déformation de l’expression « Le calme avant la tempête ». J’ai choisit ce titre, car dans ce chapitre, on retrouve ce fameux calme, ainsi que le début de la « tempête » (le combat final contre Sauron)

Le monde de Sauron : Il s’agit bien évidemment des terres du milieu, ou se déroule l’action du seigneur des anneaux (Vous allez y avoir droit jusqu’au bout à celui-là) ; à ceci prés qu’elles ont été recouvertes par les ténèbres après l’échec de la quête de l’anneau (C.F Chapitre 4 de cette fic)

Sauron : On voit ENFIN à quoi il ressemble ! Âmes sensibles s’abstenir…

 

Pour conclure, je tiens à remercier une fois de plus mes lectrices privilégiées, Deedo (Qui, en plus de bosser sur le site «La Shinra Corp» a ouvert le sien : http://oninosekai.multimania.com/ ) et Alia (Qui bosse toujours sur le site «La Shinra Corp», sans en avoir ouvert le sien ), les webmasters/webmisstress qui acceptent de mettre mes fics en ligne, a savoir Angie, R13 et Sylvie Brandford, et les petits nouveaux de la liste Dylann et le duo Olive&Deedo.

Je remercie aussi les lectrices qui m’ont écrit : Lise Savard, Amy Shinomori, Evolana Myrana, Séphira Strife et Fanely ; et les lecteur de sexe masculin (on dirait que mon message du chapitre 3 est passé) : A&O, BaronBreton, Nephret, Bugenhagen et Caith Sith2

Comme d’hab, pour toute remarque, critique : mon mail : Squall82@voila.fr

 

 

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