La Bibliothèque de la ShinRa corp.
Origines
Chapitre 1 : Bonjour, journal…
24/11/95
Journal, tu n'es qu'à moi. Mon maître ne t'auras jamais. Caché sous le lit, de nombreuses pages déjà remplis, je t'ai trouvé. J'ai déchiré toutes les pages d'avant, je ne sais même pas à qui tu étais. Mais maintenant, tu es mien. Entièrement mien.
Je ne dirais pas "mon nom est", je ne dirai pas "mon âge est". Je n'ai ni âge, ni nom. On pourrait dire que j'ai été crée voilà six ans. Mais je n'ai pas six ans.
Je ne sais rien de moi. Moi, ce n'est rien. Mon maître, que je ne vois que rarement, se contente de m'apporter la nourriture et la date, afin que je ne meurs pas et que je ne perde pas la notion du temps. Le seul moment où je le voie. Je ne lui adresse aucun regard ni parole, lui aussi. C'est comme si j'étais sourd-muet doublé d'aveugle et lui aussi.
Je connais trois lieux. Je ne saurais même pas dire si il en existe d'autre. Tout d'abord, cette chambre, où je suis la plupart du temps. Une salle entièrement nue. Des restes de repas, des feuilles de papiers. Un matelas. C'est sous le matelas que je t'ai trouvé. C'est uniquement ça ma chambre. Une fois par an, je traverse un long couloir blanc. Ma chambre est au fond de ce couloir, loin de toute lumière et de toute vie. De ce couloir, j'arrive dans une grande pièce, rempli de tubes, de seringue et d'autres objets pour faire de macabres expériences. Peut-être suis-je issu de ces expériences. Je ne connais que ces trois pièces, tout comme je ne connais personne que mon maître.
Je ne sais pas pourquoi je l'appelle mon maître. Il ne le mérite probablement pas, mais il est intelligent. Certes, son physique est nul, mais…Je ne sais pas pourquoi je l'appelle comme ça. Un sorte d'instinct. Après tout, il est maître de moi. Si il le désire, il peut me tuer. Mais il veille trop profondément sur moi pour me tuer.
Enfin, ces derniers temps, les visites, déjà énormément espacés, sont de moins en moins fréquentes. Il m'arrive parfois de ne pouvoir manger pendant trois mois, faute de nourriture.
Je sais, je suis bien mature et bien résistant pour mon âge. Je suis comme ça, c'est tout. C'est uniquement comme ça. Il ne faut pas chercher à comprendre. Voilà bien longtemps que j'ai abandonné l'idée de me comprendre. C'est inutile. Je suis incompréhensible, de part déjà mon existence. Le malheur forge le caractère. Mais ce n'est pas ça. Malgré ma condition de vie, je ne suis pas malheureux. Ce n'est donc pas ça. Je l'ai déjà dit, je suis incompréhensible.
Je te ferme et te dis à bientôt.
26/11/95
Je suis sûr et certain qu'on est le 26 novembre aujourd'hui car la nourriture et la date sont venus. A moins que mon maître ne mente sur la date. Mais ça m'étonnerai. On est donc aujourd'hui le vingt-cinq du mois de novembre de l'année mille neuf cents quatre-vingt-quinze. Je ne sais pas pourquoi je m'attarde sur de simples chiffres qui n'ont pas de réelles significations pour moi. Peut-être ais-je une passion pour eux ? J'utilise un mot que je connais pas vraiment. Passion. Il faudrait que j'apprenne ce que ça veux dire.
Peu après que mon maître soit passé, un enfant, qui doit avoir douze ans, a couru dans le couloir. Je n'ai pas pu le voir, étant donné que ma chambre n'a aucune ouverture, mais j'ai entendu un bruit de course. Ensuite, mon maître est arrivé et a crié : " Séphiroth ! Séphiroth ! "
Puis, Séphiroth a répondu : " Je veux pas ! J'aime pas les seringues !"
Le maître s'est rapproché et l'a consolé : " Séphiroth…tu sais très bien que ces piqûres sont bonnes pour toi…Alors tu vas te laisser faire !" Alors, un autre homme est arrivé :
" Ce n'est pas comme ça qu'il faut faire…"
Alors, le maître a répliqué : " Professeur Gast, je veux bien croire que vous pensiez savoir comment faire, mais je saurai le faire."
Ensuite, le professeur a dit : " Laissez-moi faire, vous le terrorisez ! " Puis il a parlé à Séphiroth : " Séphiroth. Je sais que tu n'aimes pas ces piqûres. Mais si tu ne les prends pas, tu deviendras très très malade."
Séphiroth a crié plus que dit : " Je ne suis plus un enfant ! Je veux savoir ce qu'il y a dans ces seringues !"
Gast a dit : " Dans ces seringues, il y a de la Mako. C'est bon pour toi. Ca te rend plus fort et plus résistant." Séphiroth a marmonné quelque chose et finalement tous se sont éloignés.
Moi, de ma chambre, j'avais tout entendu.
Je hais ce Séphiroth, même si je ne le connais pas. Il m'énerve ! Il a l'attention de tout le monde ! Il peut faire ce qu'il veut ! Alors que moi, je reste coincé dans cette toute petite chambre ! C'est pas normal. Pourquoi lui et pas moi ? Ce n'est pas normal. Pas normal du tout. Pourquoi lui et pas moi ? Pourquoi lui a tout et moi rien ? Je hais ce type. Je le déteste. Je le hais. Je le déteste.
Je me souviendrais toujours de cette journée.
30/11/95
Comme toujours, le temps passe sans que je m'en rende compte. J'ai beaucoup réfléchi ces derniers jours. Tellement réfléchi que je ne songeais pas à écrire dans le journal.
Cet enfant a tout, et il n'y a aucune raison. Il ne mérite pas d'avoir tout ça ! Il vit, peut faire ce qu'il veut ! Et moi, je suis forcé à rester dans cette chambre tout petite, à ne rien faire, en ne connaissant rien de l'extérieur ! Car je suis maintenant sur et certain qu'il y a un extérieur, vu que ce Séphiroth et le dénommé Gast ne vivent pas ici. Je pense que…je vais essayer de sortir. Essayez de m'éclipser. Ca devrait être simple…J'ouvre la porte, j'en ouvre une autre, et je me retrouve dehors ! Libre ! J'aurai le droit de faire ce que je veux, d'aller où je veux. Et ce Séphiroth, il ne sera qu'un moins que rien à coté de moi ! Je serai totalement libre ! A cent pour cent ! Alors que lui sera toujours auprès du maître ! Et moi j'irai là où je voudrais aller ! A faire tout ce que je veux ! Si je veux, je pourrai, je pourrai, je pourrai…je ferai tout ce que je veux ! Et personne ne m'en empêchera, je serai pas enfermé dans cette toute petite pièce ! Je mangerai tous les jours ! Je ne dépendrai de personne ! Je, je… Pendant cet temps, celui qui a tout n'aura rien comparé à moi ! Je gagnerai ! Je ferai tout ce que je voudrais ! Je serai libre comme l'air ! Rien ne m'empêchera de vivre ! Rien !
03/12/95
Je…je ne suis pas si heureux que ça finalement. Je suis retourné au labo. Il ne s'était même pas aperçu de ma disparition…
Tout avait bien commencé…J'étais sorti, comme prévu… Mais dès que je suis sorti, j'ai vu une grande plaque de métal, des fumées noires dans le ciel, de toutes petites maisons…J'ai marché longtemps dans cet endroit, j'ai cherché quelque chose de mieux…De grands ascenseurs menaient un peu plus haut. Sans me faire repérer, je l'ai emprunté. En haut, les fumées noires régnaient toujours dans le ciel, mais un grand bâtiment régnait sur l'endroit. C'était joli et laid en même temps. Les maisons étaient déjà un peu plus riche, mais il y avait moins de monde. C'était bizarre…En haut, ils vivaient plus heureux mais il y avait moins de vie, alors qu'en bas ils vivaient moins heureux mais il y avait plus de vie. Je ne saurai dire laquelle de ces deux choses je préfère. Mais en tout cas, ca m'a laissé un étrange impression… Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, mais je ne peux pas dire que j'ai aimé…Et c'était ni l'un, ni l'autre, mais pas non plus entre les deux. Déjà, ca ne faisait que quelques heures que j'étais sorti, et je commençai étrangement à regretter…
J'ai avancé pendant un certain temps sans trop savoir où allait. Finalement, je me suis assis sur un banc, est regardé tristement le paysage et me suis laissé envahir par le sommeil. Lorsque je me suis réveillé, le soleil brillait déjà haut dans le ciel; enfin…le peu de soleil qu'on voyait. Je me suis levé, est regardé les gens qui se dirigeait vers leur chez-eux, qui allait se préparer un bon petit plat et rire en famille. Moi, je n'avais pas de chez-moi à rejoindre. Cherchant à faire quelque chose, je marchais au hasard des rues. Quelques "boutiques" ( je ne suis pas sûr que ça s'appelle comme ça ) étaient encore ouvert. Ceux qui les dirigeait me regarder bizarrement. Je ne compris pourquoi que plus tard. J'arrivai face à un grand endroit, avec plein de cahiers géants. Je crois que ça parlait de l'actualité; Ca a éveillé une question en moi :
Comment est-il possible que je sache lire et écrire alors qu'on ne me l'a jamais appris ?
Je n'en sais rien. J'attrapai un des grands cahiers, où il y avait écris en gros "Le journal de Midgar". L'homme qui dirigeait l'endroit me demanda :
"Tu viens acheter le journal pour ton père, petit ?" Je ne sus que lui répondre :
"Oui…"
"Donnes-moi ta monnaie…" Je n'ai pas compris de quoi il parlait, et j'ai beau réfléchir, je ne comprends pas. Sûrement voyant ma tête, il me posa cette question :
"Ton père ne t'as pas donné d'argent ?"Je comprenais toujours pas ce qu'il racontait, mais je compris encore moi ce qu'il se passa.
Ma vue se troubla quelques secondes. Puis elle redevint clair. Tout le monde me regardait terrifié. Devant moi, le corps de l'homme, tâché de rouge, avec quelques grands ouvertures dans le corps, qui faisait ressortir un liquide rouge. Je le pris entre mes doigts, le portant à ma bouche, j'en goûtais la saveur, plutôt suave…Les autres hommes me regardaient encore plus terrifié. Un cri sortit de la bouche de l'un d'autres eux. J'attrapai un des grands cahiers blancs ( j'ai appris après que c'était des journaux, journal au singulier ) et fuyai.
L'impression que tous ces hommes allaient se jeter sur moi, me dévoraient, fous qu'il était devenu par mon acte…si c'était bien moi qui avait fait que le commerçant ( ça, je l'ai appris grâce au journal ) ne bougeait plus et gisait dans une flaque de liquide rouge. Mais je ne sais pas du tout si c'est moi, en fait…Toujours est-il que je courais, courais, je ne regardai quasiment pas devant moi, le peu de monde devant lesquels je passai me regardaient étrangement. Peut-être à cause du rouge qui maculait mes mains…Je n'en sais rien. Je ne comprends pas les humains.
Oui, je parle d'humains. Je ne sais pas exactement ce que veux dire ce mot, mais je ne pense pas être comme eux; Je ne pense pas être humain. En tout cas, si Séphiroth est humain, moi, je ne suis pas comme lui !
Mon cœur battait à tout rompre ( je ne comprends pas très bien cette expression, mais je la connais ( c'est étrange comme, quand j'y songe, je connais beaucoup de mot, mais ne les comprends pas tous…il y en a aussi que beaucoup que je ne connais pas…Y a t-il quelque chose d'étrange là-dedans ? Je n'en sais absolument rien…je sais si peu de choses, mais tellement beaucoup…en tout cas, je suis plus intelligent que cette espèce de Séphiroth !!! Malgré tout, je suis revenu… )). Finalement, je tournai à droite, me trouvai face à un grand mur gris et sale. Je me retournai, m'attendant à voir une bande enragé me sautait dessus. Mais rien ne vint. Je m'assis donc sur un vieux matelas troué, mais plus confortable que celui dans la chambre où je suis…Mais pourquoi suis-je revenu ? Je sais parfaitement pourquoi je suis revenu, en fait…
Rapidement, la pensée du commerçant et de la troupe enragé qui comptait le venger ( mais pourquoi le vengerait-il ? C'est pas comme si il l'avait perdu à jamais !)s'estompa. Je tournai les pages du journal, lisant tranquillement chaque article. Rien de bien intéressant, mais j'appris bien des mots supplémentaire, et j'eus au moins une idée de là où je me trouvai et de ce qu'était ( à peu près…plus qu'à peu près, après réflexion…) le monde et ses habitants.
Mais pourquoi est-ce que je persiste à dire que je ne fais pas partie du lot des habitants ? Ca m'énerve ! Pourquoi j'serai pas comme eux ? Remarque…pourquoi je le serais ?
Le journal fini, je le lançai au hasard et me levai. Je jetai un regard vers le haut. Noir. Je ne sais pas si c'était la nuit où seulement si c'était la couche sombre de métal qui obstruait le passage des rayons lumineux du soleil. Me vient encore une question : pourquoi parlent-ils de "rayons" ? Je restai quelques minutes debout, puis m'allongeai finalement sur le matelas et m'endormait encore une fois. Une autre question me vient : pourquoi les hommes avaient-ils peur de moi AVANT que le commerçant se retrouve…dans son état ?
Tant de questions tambourinait mon esprit endormi, tant de réponse impossible y arrivait…le tout accentué de la détestable impression de…mélancolie. Oui, mélancolie. Douce mélancolie amère qui retient l'enfant avec pour seul et unique foyer un vulgaire laboratoire…Mais peu importe.
En me levant le lendemain, j'étais un peu perdu. Mais les événements des jours précédents me revinrent et je soupirai. Pourquoi ? Encore une question. A cet instant, je pris une décision : ne plus me poser de questions. Je n'étais pas normal, j'étais différent, sans famille, sans amis, sans vie, et c'était mieux comme ça.
Soudain, je me vis. Pour la première fois de ma vie, je me vis. Je veux parler de mon physique. Ca m'a d'abord fait un choc. Je me suis même demandé qui était l'enfant sur le petit morceau de verre, et qui ne cessait de répéter tous mes mouvements. Puis je compris que c'était moi. Je peux donc me décrire : pas bien grand ( mais ça doit être normal pour mon "âge" ), un corps assez musclé, des cheveux bruns pendant un peu ( mes cheveux n'ont cessé de pousser depuis ma naissance ), des yeux noirs…Mais surtout, au milieu du front, il y avait quelque chose. Ceux qui a dû étonné ceux que je croisais. Une cicatrice ouverte, en forme de triangle. Mais ce n'était pas du rouge à l'intérieur. C'était du bleu. Un flot bleu. Une vague bleue. Une lave bleue. Assez étrange. Et je n'en ai jamais vu sur quiconque. Le petit morceau de verre ( pas plus grand que toi, cahier ) glissa dans ma poche et je sortait de l'impasse. Au moment de choisir entre gauche et droite, j'ai réalisé que l'on n'était pas bien loin du laboratoire du maître. Et tu m'as manqué, journal…
C'est bizarre, hein ? Tu m'as manqué. J'avais besoin de parler. Mais il y avait autre chose : j'avais l'impression qu'on est autant enfermé dans le laboratoire du maître que dans cette ville noire. J'exagère peut-être un peu...Toujours est-il que je suis revenu. Ca avait beau être le jour, le maître ne m'a pas vu. Il était trop occupé dans la salle aux expériences. Des petits couinements en sortaient…Mais je ne me suis pas demandé ce que c'était. Je me l'étais promis : ne plus se poser de question.
Dès que je suis arrivé, je t'ai écris tout ces événements. Je ne pense pas avoir oublié quelque chose…
A bientôt
04/12/95
Je dois avouer que j'ai rien à dire. Mais je dis quand même quelques mots. J'en ai besoin…C'est idiot, mais bon !
05/12/95
J'ai essayé de ressortir…Je ne suis pas allé bien loin, mais je suis sorti. Mais dans le couloir de la sortie, je l'ai rencontré.
Je t'avais en main. Je me faufilai dans le couloir. Lui courait. Je me suis cogné à lui. Non, en fait, c'est lui qui m'a percuté.
"Qui t'es, toi ?" demanda-t-il.
"Moi…j'sais pas."
"Pas possible de pas savoir !"
"Ben…"
"C'est quoi a, le truc sur ton front ?"
"Quelque chose."
"?"
"…"
"EH ! C'est MON cahier que t'as à la main !"
"Non, c'est le mien."
"Il était à moi !"
"Oui, mais il est à moi, maintenant."
"Pff…d"toute manière j'en ai pas besoin, c'est des trucs de gamins !"
"J'suis pas un gamin !"
"T'es quoi alors ? Un adulte ?"
"…" Puis des bruits de pas arrivèrent dans le couloir. On se regarda quelques secondes, lui était effrayé, pas moi. Je le poussai de côté, poussai la porte d'entrée et sortait.
Je suis resté un peu derrière la porte. J'ai entendu le maître qui arrivait, qui ouvrait une porte, la fermait…Naturellement ! Il ne s'intéresse qu'à ce gamin ! je suis parti alors, et suis retourné du côté aux boutiques.
Il y avait une contour de craie blanche à l'endroit où il y avait eu avant le commerçant et le rouge. Un bandeau jaune où il y avait marqué :"Sécurité SOLDAT" fermait le tout. Il restait encore quelques journaux. J'en attrapai trois différents. Toutes les autres boutiques étant fermé, je suis parti. Je me suis installé sur le même matelas, ai lu tous les journaux.
Les journaux finis, je t'ai écris le tout. Je pense que je rentrerai demain. Je peux toujours alterner entre dehors et là-bas…Le maître serait pas content, sinon…
A demain
06/12/95
Je viens de rentrer. C'est tout ce que j'ai à dire…
A bient IL ARRIVE !
Notes :
Voili voilo, le premier chapitre de cette fic et fini…
J'espère que vous avez compris au moins une chose : il ne faut pas prendre tout ce que dit l'enfant pour argent comptant; il se dit mature…mais où s'arrête l'enfant et où commence le "mûr" ? Ca vous paraît peut-être étrange, mais c'est comme ça. Et puis dites-vous, que si on veut commencer une fic en beauté, on fait un truc ultrabizarre !
Désolé si y a des illogismes ou des incohérences avec FF7 dans la fic, vu que je connais pas super bien…
Moi-même, je sais pas trop ce que je pense de cette fic…Mais peut-être que vous oui ?
Donc, questions, avis, conneries pures, insultes…maillez-moi à
bahamut@cario.frUne chose qui vous appâtera peut-être : je ne répugne pas à faire quelques spoilers pour récompenser les lecteurs méritants…
Hum…Si quelqu'un sait à quel âge Séphiroth meurt pour la première fois, qu'il me le dise, ca m'aiderait !
Je me mets tout de suite au prochain chapitre…Tchao !
Ah oui : cette fic a été commencé le 20/07/02.
*****
* Lire le chapitre 2
* Retour au sommaire de cette fic
* Retour aux fanfictions