La  Bibliothèque  de  la  ShinRa  corp.

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Argh ! Vous allez le voir par vous-même, les chapitres de cette histoire-ci (contrairement à ma première fanfiction Le Chaos qui est en Moi) seront assez courts, pour changer. Argh ! Excusez ces interjections, je suis juste peu habituée à faire des chapitres aussi courts !

Pourquoi je vous raconte ça ici ? J’en sais rien, j’avais juste envie de m’exprimer. Voilà, c’est fait…

Une autre remarque : attendez-vous à une histoire bien compliquée et tordue (oui, encore !) Ahem, non, en fait, cette fanfic est assez simple à comprendre, il faut juste avoir lu la fin pour piger le début (je vous l’ai dit : tordue !) – pas de protestation, je fais ce que je veux d’abord :-) et puis, vous aimerez l’histoire, vous allez voir !!! Ce n’est pas pour rien que je m’évertue à rendre les choses bien compliquées – c’est pour mieux t’accrocher, mon enfant ! (Le suspense, c’est très important, ouaip !)

Pourtant, malgré ce côté "tordu" évoqué plus haut, cette nouvelle est construite très rigoureusement : il n’y a plus le système des "passages" de la fiction précédente, on ne saute plus d’une époque à l’autre et d’un personnage à l’autre avec seulement l’almanach comme repère (d’ailleurs, il n’y a plus d’almanach – mais le récit des événements dans Futur Antérieur est quasi-minuté, vous verrez), et les événements sont présentés dans un ordre chronologique. Oui, malgré ce que vous lirez dans les chapitres à venir, les événements sont dans un ordre CHRONOLOGIQUE, tout le temps ! (Vous comprendrez mieux ce que je veux dire par là, lorsque nous en arriverons aux derniers chapitres – je n’en dis pas plus pour ne pas trop vous mettre sur la voie, ce qui gâcherait la surprise de la découverte)

Si cette histoire est ainsi construite, c’est aussi parce que, contrairement à la première fanfic que j’ai écrite, je sais exactement où je veux en venir ; mais que cela ne vous empêche pas de m’envoyer vos remarques, suggestions et autres courriers par e-mail avec la mention "Fanfic : Futur" en sujet. Même si je mets parfois longtemps à répondre, je vous assure que je lis tous mes mails (ça prend du temps d’ailleurs…)

Le but de cette page de notes n’est pas de mieux vous permettre de comprendre ma nouvelle Futur Antérieur… Oh, je vois d’ici les points d’interrogation qui se dessinent au-dessus de vos têtes ! « Mais alors, à quoi elle sert, cette page de notes ?! » me demanderont certains. L’histoire se comprend aisément sans cette page de notes (pour comprendre, il faut juste que vous patientiez jusqu’à la fin, où tout sera dévoilé sous vos yeux z’ ébahis) – alors, le but de ces notes ? Non, ce n’est pas de radoter sur ma vie (soupirs de soulagement des lecteurs !), ces notes servent juste à expliquer un peu les différents surnoms que se donnent Selphie et Irvine, et d’autres détails du même gabarit. Eh, au fait, n’est-elle pas marrante, mon idée de mettre ces deux-là ensemble ?! Qui sait de quoi demain sera fait – mon histoire se passe dix ans après l’action du jeu FF8, alors pourquoi pas, hein ?!

Bon, après cette longue introduction (j’ai pas pu m’en empêcher – désolée…), voici les notes à proprement parler (il n’y en aura pas tellement, beaucoup moins que pour ma fiction précédente) :

Notes générales : Comme d’hab’, tous les droits concernant les noms et persos (sauf ceux que j’ai inventés) relatifs aux jeux FF sont (blablabla) la propriété de Squaresoft (blablabla), mais les droits sur cette fanfic et cette page de notes m’appartiennent (blablabla).

J’ai utilisé certains noms français (Linoa, par exemple) et gardé certains en anglais, selon ce qui m’a semblé le plus sensé.

« Nunchaku rouge » : arme de base de Selphie.

« Comme je portais des talons hauts » : je me contenterai de vous donner deux chiffres – correspondant aux statures respectives de Selphie et d’Irvine : 1m57 (c’est exactement la taille que je fais aussi, sans talons bien sûr !) et 1m85 !

« … des yeux de Diodon frit » : dans le jeu, le Diodon est un monstre-poisson aux yeux globuleux. Cette expression final-fantaisiste de Selphie est basée sur l’expression française "regarder avec des yeux de merlan frit"

« Cette statue débile » : la statue de Laguna dans le village Shumi au nord-ouest de Trabia (région enneigée). Quant aux "cailloux colorés" dont Irvine parle, ce sont des pierres que vous devez retrouver pour le chef de ce village.

« Mon petit Chocobo de Trabia » : Selphie n’est pas particulièrement grande, elle vient de l’université de Trabia, et il y a une forêt de chocobos près de là-bas !

« Eyes on Me »: petite note en passant, cette chanson a été – selon le tutorial du jeu – composée par la pianiste Julia Heartilly (la mère de Linoa et épouse du Major Caraway) dont Laguna a été un grand fan.

« PHS » : petit clin d’œil à mon jeu préféré, FF7 (qui surpasse même le sixième opus, à mon avis et quoi qu’en disent certains…)

« Balle Pulsar de mon cœur » : genre particulier de balles, utilisables par Irvine, et indispensables pour obtenir la meilleure arme de Squall, la Lionheart. Irvine sous-entend aussi par là que Selphie, au lieu de lui décocher une flèche de Cupidon en plein cœur, lui a tiré une balle Pulsar au cœur (ouais, on dit parfois des trucs débiles quand on est amoureux !)

« Esthar Maniacs Magazine » : petite référence au vieux journal pour lequel Laguna a travaillé, Timber Maniacs.

« Revenons à nos chocobos » : équivalent Selphien de "Revenons à nos moutons" !

« Joobu de mes jours » : l’une des meilleures limites de Selphie, qui redonne tous les HP à l’équipe et guérit de tous les états négatifs. Très jolis effets de lumière lorsque vous utilisez cette limite – d’où ce surnom qu’Irvine donne à sa copine, qui est à peu près similaire à "tu es le soleil de ma vie" – n’est-ce pas romantique ?!

« C’était évident comme un T-Rex dans un corridor » : en français, ce serait plutôt "évident comme un éléphant dans un corridor", ou comme "le nez au milieu de la figure".

« Furioso » : la limite de base d’Irvine, pas terrible d’ailleurs… Par contre, ses balles "tornade" et "foudre" sont du tonnerre (c’est le cas de le dire !)

« … l’abysse insondable de ses pensées » : je n’ai pompé cette phrase nulle part, je l’ai inventée toute seule, comme une grande ! Hé hé hé !

« … ses grands yeux noisette brillant d’un éclat doré » : dans le jeu, la sorcière Ultimécia a les yeux d’une couleur approchant… le jaune ( !?)

« … arrêter ce cercle infernal … » : voir la scène avec Edea dans l’orphelinat, après le combat final contre Ultimécia.

« …la nièce adoptive du Président Loire… » : petit ajout dans les notes se rapportant au chapitre précédent : on ne connaît pas le nom de famille d’Ellone ; dans sa maison de Winhill, Laguna se contente d’ailleurs d’appeler les (photos des) parents de la petite fille, "papa et maman d’Ellone", donc il m’a semblé possible qu’Ellone ait pris le nom de son "oncle Laguna". C’est pourquoi dans le chapitre un, Selphie fait référence à Ellone sous le nom de "Ellone Loire".

Dernier paragraphe : remarquez juste le blanc séparant ce dernier passage de la scène précédente (la conversation entre Squall et Linoa). Vous pouvez en déduire que c’est un flash-back (d’ailleurs, ils semblent adorer les flash-backs, les gens de chez Square !) ou au contraire, en déduire que ce n’est PAS un flash-back… Patientez encore un peu, mes agneaux !

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