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Futur Antérieur

 

 

Chapitre I : Une Surprise pour Selphie

 

Extrait du Esthar Maniacs Magazine, rubrique "News & Bruits de Couloir" :

 

 

(Par votre servante Selphie Tilmitt, journaliste et écrivain.)

 

Revenons donc à nos chocobos, chers amis lecteurs : je vous avais précédemment laissés en plein suspense en vous annonçant l’organisation d’une fête – grandiose bien que privée – à la Balamb Garden University. En fait, celle-ci se déroula plutôt bien… jusqu’à un certain point. Mais chaque chose en son temps !

J’avais laissé mon vieil uniforme SeeD chez un couturier de ma connaissance, afin qu’il y effectue quelques menues "retouches" : je n’avais pris que trois kilos depuis le jour de ma promotion SeeD – mais c’était des kilos placés au mauvais endroit, si vous voyez ce que je veux dire, Mesdemoiselles ! – et c’était la seule manière pour moi de pouvoir remettre cet uniforme un peu… particulier.

Irvine (je crois vous avoir déjà dit que c’était mon "grand" ami) et moi arrivâmes en retard car mon Crétin d’Amour avait oublié de passer chez le couturier dont je viens de vous parler, pour y reprendre mon uniforme ; et tout en pestant contre lui (contre Irvine, et non contre mon ami couturier !), je conduisis notre VVE (Véhicule Volant Estharien) à toute allure en direction de la boutique de couture, puis vers la BGU – qui était revenue à son ancien emplacement, près de Balamb City.

La fête battait déjà son plein lorsque nous arrivâmes devant les portes de l’université. Le nouveau vigile à l’entrée principale nous arrêta lorsque je voulus rentrer avec mon véhicule dans le parking de la BGU.

« - Les étudiants n’ont pas le droit d’amener leur voiture personnelle à l’université ! nous informa t-il (ce dont j’étais déjà parfaitement au courant)

- Mais Monsieur, nous le savons, ça ! fit le Héros Solitaire, assis à mes côtés.

- D’ailleurs, vous aurez un blâme pour être rentrés après le couvre-feu, mes jeunes amis ! continua le gardien, d’un ton sévère.

- Hein ? fit Qui-vous-savez, assis à mes côtés.

- Irvine, lui expliquai-je, le gardien croit que nous sommes étudiants ici.

- Ah, OK ! fit M. l’Intellectuel, assis à mes côtés.

- Monsieur, nous sommes invités à la fête des Anciens, dis-je alors en me tournant vers le gardien, un grand sourire aux lèvres (j’étais très flattée qu’il ait pu croire que j’étais âgée de moins de 20 ans !). Nous ne sommes plus étudiants…

- Oh ! Excusez-moi alors. Puis-je voir votre invitation, je vous prie ?

- Bien sûr. Irvine, s’il te plait, montre-lui nos invitations…

- Mais je croyais… que tu les avais, Chérie ! »

Je tournai vers Irvine un regard glacial, l’envie de lui tordre le cou me démangeait les doigts. Il ne trouva rien de mieux à faire que de rire, puis il sortit les cartons d’invitations salvateurs de la poche de sa veste et se pencha de mon côté pour tendre les invitations au gardien.

« Je plaisantais, Joobu de mes jours ! » me dit-il, toujours en riant.

Je dois vous avouer – c’est une confidence – que j’avais un peu honte d’avoir cru si facilement sa plaisanterie ; j’aurais dû le voir venir – c’était évident comme un T-Rex dans un corridor : Irvine m’avait appelée "Chérie", alors que normalement, comme vous avez dû le constater par vous-même, il me donne des surnoms affectueux… pour le moins originaux, et souvent plutôt idiots !

Après ces quelques déboires vite oubliés, j’entrai enfin dans la salle des fêtes, Irvine à mon bras – ou plutôt, j’entrai dans la salle des fêtes au bras d’Irvine (Je crois que c’est cela qu’il convient d’écrire, dans ce monde de machos !). Quoi qu’il en soit, nous entrions enfin dans cette salle dont j’avais gardé de très bons souvenirs… Et là, ce fut l’une des minutes les plus embarrassantes de toute mon existence ! D’habitude, c’était Irvine qui me faisait honte en public, mais à ce moment-là…

Linoa Leonhart avait un magnifique fourreau de soie bleu pâle, Ellone Loire, une robe d’un rose poudré très doux, la conseillère d’orientation Shu portait un joli boléro bleu marine assorti à sa robe – très chic ! – et Quistis Trepe me surprit en étant particulièrement "sexy" dans sa robe du soir en lamé rouge vif. Tous les hommes étaient en smoking, tout comme l’était mon Irvine, et moi, je portais mon uniforme du SeeD – pas étonnant que le gardien m’ait prise pour une étudiante !

Quoi que vous fassiez, assumez-le, mes chers amis ! Je pris donc mon air le plus digne possible, et personne n’osa me faire remarquer que mon habit était peu approprié – n’étais-je pas, après tout, la pétillante Selphie toujours prête à faire l’originale ?

Comme Irvine – pour la première fois depuis que je le connais – lorgnait un peu trop du côté de Quistis, je le laissai là, pour aller discuter avec M. et Mme Leonhart. Me croirez-vous ou non, mon Crétin Préféré, cinq minutes après que je l’aie laissé planté près de l’entrée, s’aperçut de ma disparition et, malheureusement, me retrouva très vite. Il passa son bras autour de mes épaules, puis salua Squall et son épouse pour s’immiscer en douceur dans la conversation – comme il le faisait souvent, ce qui a pour résultat de m’agacer prodigieusement.

 

Quelques instants plus tard, nous avions déjà revu presque tous nos anciens camarades de classe (ou plutôt, mes camarades de classe, Irvine n’étant qu’un cheveu Galbadien dans cette soupe Balambienne, après tout !), lorsque Fujin et Raijin apparurent, inséparables comme toujours…

« Apporte-moi un verre de Punch, Raijin ! » fit Fujin de l’habituel ton cassant qu’elle prenait pour s’adresser au pauvre garçon.

Raijin obéit et se dirigea vers la table du buffet. Fujin nous adressa un bref sourire accompagné d’un signe de la main (« Wow ! pensai-je. Elle est drôlement gentille, aujourd’hui ! ») en passant près de nous pour aller rejoindre son "ami" au buffet.

« Wow ! » fit Irvine en voyant Fujin passer. Je pensais qu’il était en train de se dire la même chose que moi – concernant l’inhabituelle marque d’amitié dont venait de nous gratifier la conseillère disciplinaire Fujin – lorsque je m’aperçus que ce qu’IL avait remarqué chez elle en fait, c’était sa robe décolletée !

« Aïe ! » grimaça t-il lorsque je lui administrai ce-que-vous-savez sur le sommet du crâne (j’avais, ce soir-là aussi, des talons hauts aux pieds…)

Puis, je laissai le joli-cœur commencer à protester « Mais, mon petit… » dans le vide, tandis que je me dirigeais vers le buffet.

« - Dis-lui de ne pas mettre de glaçon dans mon verre ! disait Fujin à Raijin.

- Bien, Madame, répondit le barman qui l’avait entendue (Pas étonnant : elle se tenait à un mètre de lui, à peine !)

- Tu veux des bretzels, Fujin ? demanda Raijin.

- Laisse ça ! Zell va nous faire une crise cardiaque s’il n’en reste plus quand il s’amènera ! répondit-elle.

- Oh, Selphie ! Comment vas-tu ?

- Ça va, Raijin, merci. Alors, comment vont les amours ? »

Je posai cette question tout à fait innocemment, c’était juste une expression pour moi. Mais bizarrement, Fujin se mit à rougir et Raijin ouvrit de grands yeux étonnés.

« - Tu-tu lui a dit ! murmura Fujin à bout de souffle.

- Je n’en ai parlé à personne, ma puce ! » protesta Raijin.

Je fus surprise de constater la similitude de la réaction de Fujin envers Raijin avec ma propre conduite envers Irvine : elle lui donna un grand coup de coude, non pas sur la tête mais au ventre, et il encaissa sans broncher… après tout, pour un grand gaillard comme Raijin, ce devait n’être qu’une chiquenaude, me dis-je.

« - Seifer, lui, m’a promis de ne rien dire ! Comment le sait-ELLE, alors ? demanda Fujin, en me montrant du doigt.

- Je n’en sais rien ! répondit son ami.

- Dis-lui de se mêler de ses affaires, Raijin ! fit-elle, toujours en me montrant du doigt.

- Selphie, mêle-toi…

- J’ai ENTENDU ! » coupai-je en tournant les talons pour m’éloigner.

Puis, après avoir fait quelques pas, je me retournai soudain et, m’adressant à Fujin, je lui assenai ses quatre (ou plutôt, trois !) vérités : « Premièrement, Fujin, si tu ne veux pas qu’on sache que tu es fiancée à Raijin, ne te balade ni avec lui, ni avec cette alliance au doigt ! Deuxièmement, adresse-toi aux gens personnellement, au lieu de faire parler Raijin à ta place ! C’est une manie vraiment très irritante que tu as là ! Et dernier point… »

Là, je m’arrêtai et leur fit un sourire :

« … Je vous souhaite beaucoup de bonheur, et plein d’enfants au prénom finissant par "-jin" ! »

Bien sûr, Fujin ne sut plus quoi dire, Raijin l’embrassa sur la joue, et elle rougit de plus belle.

Voilà, c’était ma rubrique "People" du jour ! Si vous aimez les potins, cessez dès à présent de lire EMM, car je n’ai plus l’intention de vous révéler d’autres indiscrétions sur l’équipe dirigeant la BGU ! Je vous donne rendez-vous le mois prochain pour la suite de mes chroniques.

 

(Ceci est le dernier article écrit par Selphie pour le magazine Esthar Maniacs)

 

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Extrait du journal intime de Selphie :

 

 

(…) Peu après, on nous montra les places qui nous étaient réservées à la table du dîner et j’eus l’agréable surprise de constater que nous étions assis près de Zell, du couple Leonhart, et des deux tourtereaux en "-jin", mais Seifer Almasy était aussi juste en face de nous, assis à la gauche de Quistis…

Je suis fière de dire que je suis une personne très tolérante et peu rancunière, mais ce qu’IL nous avait fait, je ne pouvais le lui pardonner. Malgré tout ce que pouvait dire Squall en sa faveur, malgré toutes les bonnes choses que je savais qu’il avait faites pour la BGU depuis maintenant près d’une décennie, je ne pouvais ni lui pardonner, ni oublier le regard qu’il me jeta avant de m’infliger ce coup de Gunblade dont mon épaule porte encore la cicatrice.

Malgré mon aversion, je fis bonne mine à table, afin de ne pas gâcher l’ambiance de la soirée.

« Eh bien, Selphie ? me demanda justement Seifer, en essayant d’être aimable, je suppose. Pour quand est prévu ce mariage ? »

Tout en disant cela, il jeta un regard en coin à Fujin, qui rougit à vue d’œil, et il sourit amicalement.

« - Dès que je sentirai que le moment est venu, pas avant ! répondis-je, d’un ton involontairement sec, tandis que je pensais plutôt : « Lorsque Monsieur cessera de faire le mariole avec les autres filles ! »

- Eh, Selphie, arrête de nous faire mijoter, intervint Zell, hilare. Cela fait dix ans que tu nous tiens en haleine !

- Huit, pour être plus précis, fit mon Crétin de service.

- Ouais, il a passé deux ans à essayer de me mettre le grappin dessus ! remarquai-je en riant nerveusement. Deux ans de bouquets de fleurs, de boîtes de sucreries, et de poèmes d’amour recopiés depuis des bouquins de la bibliothèque de la BGU ! Bouquins qu’il n’a d’ailleurs jamais rendus, Madame la Conseillère Disciplinaire. (Je m’adressais alors à Fujin)

- Et elle nous remet ça ! » protesta Irvine (Remarque, cher journal, comme mon tendre bien-aimé a la manie de protester, pour un oui ou pour un non)

« - Je n’aurais jamais dû t’avouer cette histoire de poèmes recopiés ! continua t-il.

- Tu ne peux rien me cacher, Furioso de mon cœur ! » lui dis-je sur un ton ironique, en imitant l’habitude qu’il avait (et qu’il a toujours) de me donner des surnoms ridicules.

Maintenant que j’y repense, d’après la façon goguenarde dont me regardèrent les autres, ils devaient penser que dans l’intimité, je l’appelais vraiment "Furioso de mon cœur" ! Argh !

Mais laissons à présent de côté cet autre moment embarrassant de mon existence, et attachons-nous plutôt à la fin de cette soirée, qui fut moins, bien moins joyeuse et insouciante.

 

Tous les autres invités étaient partis, il ne restait plus que notre "équipe", et nous nous attardions à table – essayant sans doute de retarder un peu plus le moment de nous séparer. C’était comme au bon vieux temps… Oh, je me mets à être nostalgique, comme les vieux – alors que je n’ai que 27 ans ! Ahem, il y avait donc Linoa et Squall côte à côte, Quistis, Zell, Irvine et moi, ainsi que nos anciens "adversaires" : Seifer, Fujin et Raijin – qui étaient alors nos ennemis jurés (Ah, on croit que rien ne va jamais changer, et pourtant…). Et puis, à quelques places de distance, était assise Ellone qui semblait plongée dans l’abysse insondable de ses pensées (non, je ne suis pas poète, cette expression était dans l’un des poèmes d’Irvine – un des poèmes qu’il a recopiés… Et dire qu’il a gagné mon cœur avec ÇA !).

Squall porta la paume de sa main droite à son front et baissa légèrement la tête… Mauvais présage – très mauvais présage, ça !

« - Ils doivent savoir, ils en ont le droit, Squall…, lui dit Linoa avec douceur.

- Hum ! » répondit-il.

Ah, je le retrouvais bien là, notre cher Introverti !

« - Qu’y a-t-il, qu’essayez-vous de nous cacher ? demandai-je.

- Nous ne pouvons rien te cacher, "Furioso de mon cœur" ! Whahaha ! » fit Zell en s’esclaffant.

« Eh bien, j’ai l’honneur de vous informer qu’outre Irvine, nous avons un autre "M. l’Intellectuel" dans notre groupe !» pensai-je.

Ils parurent tous trouver l’intervention de Zell très drôle et spirituelle, et tous se mirent à rire. Même Linoa et Squall nous gratifièrent d’un sourire, et Ellone riait doucement, sans bruit, dans son coin… Mais elle reprit vite son sérieux et me jeta alors un regard si triste, comme si elle savait quelque chose que nous ignorions, que même Squall et Linoa ignoraient…

C’est alors que Cid et Edea Kramer arrivèrent dans la salle des fêtes pour se joindre à nous. Nous nous levâmes tous, et ceux qui faisaient partie du SeeD (et j’en faisais toujours partie, même si je l’ai quitté depuis quelques années – toute sa vie on reste un SeeD, du moment qu’on en était devenu un membre), ceux-là leur firent le salut qui convenait à la circonstance.

« - Squall, leur as-tu parlé de… Macy ? s’enquit Cid.

- Pas encore, Monsieur Kramer…

- Ne sois pas si formel, mon garçon, lui dit Edea, notre chère gouvernante.

- Hum…, fit Squall, comme d’habitude.

- Qui est Macy ? » demandai-je, ma curiosité étant hélas plus forte que mon respect des règles de discipline SeeD (ne pas poser de questions avant qu’on ne vous en ait donné la permission…)

Heureusement, comme j’étais une ex-SeeD et que les Kramer étaient des chefs plutôt "cool", personne ne m’en tint rigueur, et ils nous présentèrent donc la fameuse Macy.

Une petite fille aux cheveux d’un noir de jais et au regard noisette fit son entrée. C’était une petite orpheline qu’ils avaient recueillie, il y a deux jours de cela, et elle habitait à présent à la BGU, nous firent savoir les Kramer. Les Leonhart acquiescèrent.

Macy devait avoir dans les six ans – sept ans tout au plus, et elle était mignonne et timide comme tout ! Alors, pourquoi donc Squall était-il si gêné, et pourquoi avait-il tellement hésité à nous faire rencontrer Macy ? Macy… Je me plongeai dans ses grands yeux noisette brillant d’un éclat doré… Macy…

Oh, mon Dieu !

Je n’eus pas conscience que je m’étais brusquement levée de ma chaise et que j’avais crié ma stupéfaction à voix haute.

« Qu’est-ce qui ne va pas, Chérie ?! » me demanda Irvine en me tenant par le bras, de peur sans doute que je ne tombe. En effet, il m’avoua une heure plus tard qu’il avait alors craint que je ne m’évanouisse, tellement mon visage était devenu livide. Et c’est vrai que pour qu’il m’appelle "Chérie" en prenant ce ton-,, il devait vraiment être très inquiet ! Ils me regardaient tous d’un air inquiet, d’ailleurs.

« Ce qui ne va pas ?! criai-je, hors de moi (la peur a cet effet étrange sur moi : elle me met en colère). Vous ne voyez pas ?! Macy ! »

Squall et Linoa détournèrent leur regard, Ellone se mit à contempler ses chaussures… Je fis des yeux le tour de la table, avec une colère (ou une peur) qui donnait l’impression de vouloir me retourner l’estomac. M. Kramer dit à son épouse de ramener la petite Macy dans sa chambre, ce qu’Edea s’empressa de faire ; et je restai là, à répéter : « Mais, vous ne voyez donc pas… »

Irvine me prit dans ses bras – j’en avais bien besoin pour une fois ! – et cela eut pour effet de me calmer un peu. Puis, les mains sur mes épaules, il se recula d’un pas et me fixa droit dans les yeux : « Selphie, dis-moi ce qu’il y a… ». Pour qu’il m’appelle "Selphie", je devais être encore plus pâle qu’une morte !

« Squall, dis-moi que je me trompe ! » l’implorai-je. Il me regarda, et me dit que je ne me trompais pas.

Je restai immobile encore un instant et entendit Raijin remplir son verre d’eau, je me retournai pour le regarder : perplexe, il gardait son verre à la main, à le tourner entre les paumes de ses mains. J’attendis encore un instant, au cas où il se mettrait à boire son verre, car je ne tenais pas à faire s’étouffer ce pauvre homme, par mes révélations… Apparemment, il ne voulait pas le boire, son verre d’eau. Je me retournai donc vers Irvine, j’avais besoin du soutien de ses yeux. Il me sourit doucement.

« Macy… Ne vous rappelle t-elle pas quelqu’un ? » leur demandai-je à tous, en continuant à regarder Irvine, et lui seul. Il hocha la tête négativement, je me blottis dans ses bras et fermai les yeux.

« Macy… » annonçai-je alors, dans un murmure.

Mais ma voix refusa d’aller plus loin et je fus incapable d’en dire d’avantage. J’entendis ensuite la voix de Squall s’élever, claire et impassible : « Macy, c’est un diminutif pour Ultimécia. »

 

Je n’aurais jamais cru que je pourrais retrouver le sommeil après cela, pourtant, maintenant il est trois heures du matin et je tombe de sommeil…

 

 

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