La  Bibliothèque  de  la  ShinRa  corp.

 

 

 

Résurrection est la clé

 

 

Chapitre 4 : Dainijijõ

(NdAuteur : Ce chapitre est long ; donc je l'ai découpé en deux parties)

 

Partie 1 : Incident de parcours

« Etions-nous obligés de laisser le Hautvent ?

- Ah non, Yuffie ! Tu ne vas pas recommencer ! geignit Tifa.

- Même si je n’aime pas laisser le Hautvent sans surveillance, j’ai pensé qu’il valait mieux le laisser camouflé et arriver à Mideel à pied.

- Un peu d’exercice ne te fera pas de mal, Yuffie, rit Barret, je trouve que tu as grossi !

Yuffie tira la langue : - Dans les forêts, il y a des bestioles affreuses !

- Ah ah ah ! Ce ne sont pas les petites bêtes qui mangeront la grosse ! se moqua Barret. Une ninja de ta stature aurait-elle peur des petites bébêtes ? ! » Yuffie se mit à bouder.

Après un long moment de marche, une bête attaqua nos amis. Un chasseur de têtes, comme il en traîne pleins autour de Mideel. Le monstre se jeta sur Vincent, le mordit cruellement à l’épaule. Celui-ci se débarrassa de la bête d’un coup de fusil en pleine tête , l’envoyant au sol. Le monstre gît , de la cervelle s’écoulant de son crâne. Le groupe repartit, des gils supplémentaires en poche.

Quelques mètres plus loin, Vincent se sentit subitement mal, s’appuyant contre un arbre pour ne pas tomber. « Vincent, ça va ? s’inquiétait Cait Sith.

- Tête… qui tourne… » articula-t-il avant de s’évanouir.

**

« Mideel, la Rivière de la Vie… Celle qui bénit les mortels… Elle sera bientôt mienne… Comme la ville a changé… Quand suis-je allé à Mideel ? Bah, quelle importance… » Il s’éloigna de l’entrée de la ville et s’installa dans la forêt un peu plus loin dans un tas de décombres. La nuit serait plus propice pour agir. Aller à la rencontre de son destin…

**

Elle vit le petit groupe arriver : « Enfin, les voilà. Je commençais à m’inquiéter… » pensa-t-elle. Son amie devint pâle. « Est-ce que tu vas bien ? – Oui, oui… » Elle n’en dit pas plus et sortit de la pièce en courant.

« Où est la clinique ? hurla Clad. On a besoin d’aide ! » Vincent se trouvait au plus mal, soutenu par Cid et Barret, il parvenait avec difficulté à mettre un pied devant l’autre, son visage mouillé de sueur.

« C’est par-là, indiqua une vieille femme, mais le Docteur est en tournée dans les habitations isolées, et l’infirmière est en vacances…

- QUOI ! ? »

Le raffut alerta des voisins. Un homme d’une cinquantaine d’années leur proposa d’ouvrir la clinique pour y installer Vincent qui montrait maintenant des signes d’une fièvre intense. « On ne peut pas attendre ! s’alarma Tifa. Il va de plus en plus mal ! » Allongé sur le lit, Vincent gémissait, en proie à un délire, suant à grosses gouttes.

« Attendez ! Je vais vous chercher quelqu’un. Ce n’est pas un docteur, mais je pense qu’elle peut vous aider.

- Bon, d’accord ! Mais faites vite ! » cria Cid. Vincent s’était mis à trembler, les yeux révulsés.

Quelques minutes plus tard, le quinquagénaire ramena une jeune femme d’une vingtaine d’années, portant une blouse blanche. Clad s’avança : « Mademoiselle… » Elle l’ignora complètement, et se pencha vers Vincent d’un air grave… « Comment est-ce arrivé ?

- Un chasseur de tête l’a attaqué… Mais d’ordinaire, leurs morsures n’empoissonnent pas !

La jeune femme répondit : - C’est la période de migration des spirales, prédateurs redoutables des chasseurs de têtes en cette saison. Alors pour se défendre, les chasseurs de têtes génèrent un poison puissant, dont les effets sont redoutables. Ce poison leur permet de mieux se défendre des spirales. » Elle se tourna vers le groupe : « Excusez-moi, mais je vous demande de sortir… » Ils acquiescèrent et atteignirent la salle d’attente suivis du quinquagénaire. « Qui est-ce ? demanda Clad. Je ne l’ai jamais vu, avant.

- C’est mademoiselle Dainijijõ, une sorte de scientifique.

- Une sorte ?

- Je ne peux pas vous dire… Elle est arrivée, il y a environ un an avec son amie, je ne me souviendrais jamais de son prénom, qui était mal en point. Après, elles se sont installées en ville. Je crois que c’est à cause du lac.

- Le lac… La Rivière de la Vie ?

- C’est cela. On ne sait presque rien sur elles. Mais elles nous rendent service, et tout le monde les aime. J’ai beaucoup de respect pour elles, elles sont pourtant plus jeunes que moi. »

A cet instant, la demoiselle sortit, les compères se levèrent. « Alors, va-t-il s’en sortir ? s’enquit Clad

- Je pense que oui. Le poison s’est répandu dans son organisme du fait qu’il ait bougé. Il va lui falloir du repos. Je lui ai injecté un sérum, et suturé la plaie. Maintenant, il faut laisser le temps faire son œuvre… Laisser le temps faire son œuvre…

- Comment vous remercier, Mademoiselle ?

Elle rit : - Ne m’appelez pas mademoiselle, cela me gêne… Non ! Appelez-moi Dainijijõ, tout simplement. Et puis, il n’y a pas à me remercier. C’est tout naturel. »

Il regardèrent plus attentivement leur interlocutrice. De taille moyenne, elle avait de longs cheveux bruns qui tombaient jusqu’à l’endroit où le dos perd son nom, et de grands yeux verts, pétillants de gaieté et d’intelligence. Elle avait une beauté sauvage.

« Dites, en attendant que Vincent aille mieux, où pourrions nous loger ?

- Eh bien, je vous aurais bien offert l’hospitalité mais mon appartement est déjà assez petit pour moi et mon assistante…

- Oh, mais moi ça ne me dérange pas de les héberger, annonça le quinquagénaire.

- Tu es sûr Kyaku ?

- Bien sûr, je t’ai dit que cela ne me dérangeait pas ! Ma maison est grande.

- Comment vous montrer notre gratitude ? demanda Cait Sith.

- En acceptant. Vous êtes des voyageurs de passage et votre route a dû être longue… Je vous propose de partager ma table. En attendant essayer de vous détendre…

- Mais… Et Vincent ? »

Dainijijõ leur assura qu’elle veillerait sur lui, après avoir téléphoné à son assistante. « Elle n’est pas là. Je lui ai laissé un message. » Rassurés, ils s’en allèrent et la jeune femme s’installa près de Vincent.

**

« Que croyais-tu en t’enfuyant comme ça, Vincent ? ricanait Hojo. Tu croyais pouvoir me duper ? »

Vincent ne répondit pas. Il se sentait mal. Partout dans sa chair, dans son esprit… Les sédatifs l’assommaient, il restait dans un état de demi-sommeil. La lumière lui agressait les yeux. « Et en mettant le feu à mon laboratoire ? Tu es plus stupide et plus insignifiant que je ne le pensais ! » Il rit de plus belle, de son rire sadique et mesquin, puis prit un ton doucereux. « Ah… Dommage pour toi, mon pauvre Vincent… Malgré tous tes efforts pour la détruire, Jénova est en bon état… Encore heureux que ces idiots de soldats l’aient récupérée. Tu l’aurais payé cher, sinon, très cher… AH ! AH ! AH ! »

Vincent se réveilla tout à fait. Il se trouvait à l ‘étroit dans cette sorte de cercueil. Hojo s’était assis sur son ventre et, ses lunettes dans une main, il le fixait d’un air cruel. « - Tu… tu es… ignoble… articula le jeune Turk. Et… mons..trueux.

- Whahaha ! Qui est le vrai monstre, dis-moi ? » Hojo saisit la main métallique de Vincent : « Regarde. Ces imbéciles de soldats ont tiré sur un de mes spécimens ! Voici le résultat. Ah mais ! Je suis plutôt fier de moi. Il est magnifique… Tu as de la chance… Je t’envie presque ! Ahahah !

Vincent lui cracha au visage : - Tu me dégoûtes ! Tu es fou… Tu me donnes envie de vomir !

- Rien que ça ? Je te dégoûte ? Je dirais plutôt que c’est toi qui me dégoûtes ! Ah… soupira le scientifique d’un air faussement peiné, ses yeux qui brillaient dans la semi-obscurité, reflétaient une sorte de tristesse feinte : Pauvre Lucrécia… Elle est morte par ta faute…

- Par… ma… faute ? Non ! C’est toi ! Toi et tes expériences dépravantes ! Elle n’en voulait pas ! Tu la droguais pour qu’elle ne se doute de rien !

- J’ai peut-être injecté le Jénova et la Mâko à ma femme. Mais toi ? Qu’as-tu fais ? Tu n’as rien fait pour m’en empêcher… Tu aurais pu… je ne sais pas, moi… Me tuer pour la protéger… Je n’aurais été qu’un crime à ton ardoise… Un de plus ou un de moins, qu’est ce que ça change pour un Turk ? Un tueur froid comme toi ? Un criminel qui ôte la vie sans aucun art ? Un monstre ?»

Vincent déglutit difficilement cherchant des arguments pour affronter le scientifique qui jouissait de l’effet que ses mots produisaient sur le jeune homme. « Mais… Mais… pense à ton fils ! Tu pourrais l’élever comme les autres ! Quel besoin as-tu de le torturer, de lui faire des expériences… En mémoire de Lucrécia, protège-le !

- Mon fils ? Ah oui ! Mais est-ce vraiment le mien ? » Il se pencha vers Vincent les yeux plissés, le regardant avec son air rusé. Celui ci ouvrit de yeux horrifiés. « AH ! AH ! Qu’est-ce qui ne va pas, Vincent ? Qu’est ce que tu croyais, Que je ne savais pas ? Tu es décidément trop naïf… Tu croyais que j’ignorais que tu avais eu une aventure avec Lucrécia ! Mais voyons… S’est elle donnée à toi de son plein gré ? Cela ne m’étonnerait pas que tu l’aie violée… Meurtres, kidnappings… Les Turks sont si bas…

Vincent se débattit : - Jamais ! Jamais ! Je n’aurais jamais fait une chose pareille à Lucrécia ! JAMAIS ! Tu entends ? » Les larmes se bousculaient aux bords de ses paupières. Hojo ricanait à présent.

«Non, tu as raison.. L’Amour… Ridicule… Les sentiments sont un frein à la Science… Et pourtant… Elle me manquera, Lucrécia… Moi aussi je l’aimais… Malgré sa façon de se plaindre… Tu sais, elle t’aimait aussi ! Elle t’aimait aussi ! Toi aussi ! Je n’étais pas le seul ! Tu ne l’as pas soutenue, tu l’inquiétais avec tes mises en garde. Tu l’as fait mourir ! Tu n’as rien fait ! Et elle est morte !

- Et toi, Hojo ! Si tu l’avais vraiment aimée, tu n’aurais pas fait ces horreurs sur elle !

- Elle était d’accord… Tu ne l’as pas protégée, c’est tout ! Pourquoi ces distances soudainement prises avec elle ? Et ces regards suppliants ? »

Vincent se tut. Hojo avait raison. Il avait été si faible… Il n’avait pas réagit à temps. J’ai laissé celle que j’aimais, celle pour qui j’avais le plus de respect, affronter le pire… Voilà quel a été mon péché… Il n’avait pas su… Elle l’avait aimé… comme tout avait été si compliqué… Pourquoi ? Qu’avait il fait pour mériter un tel sort ? Rien. C’est justement pour ça. Il n’avait rien fait.

Voyant sa position de supériorité, Hojo jubilait : « Tu as compris ? Tu es un monstre ! Tu as mérité cette apparence… Oh…. Mais… Quel superbe costume ! Tu ressembles… à un vampire. AH ! AH ! AH ! C’est toi le monstre ! » Il reprit son sérieux et se leva enfin : « Je crois que je vais te laisser… discuter avec ta conscience… si toutefois tu en es pourvu. Pendant de très longues années… Ah oui… Si cette discussion te paraît insupportable… Tu sais quoi faire… » Il jeta le Mercure dans le cercueil. « Oh tu sais, tu ne seras pas seul… Avec ma collection d’expériences ratées. Il désigna un tas d’ossements. Les morts vivants ne sont pas très bavards. Ils ne vivent pas vraiment… En plus, leurs chairs pourrissantes, c’est d’un malsain… Enfin… Sois heureux de ton sort ! Tu es une réussite ! Peut-être une de mes meilleures… Après « Séphiroth » bien entendu ! Whahaha ! Bonne nuit, Vincent… Le cercueil ne s’ouvre que de l’extérieur tout comme cette porte… Hojo le narguait en secouant une clé en or. Espère toujours qu’on viendra te trouver ! » Il referma le cercueil et la porte.

Vincent entendit décroître ses pas. Hojo ! Immonde crapule ! Un jour, tu me le payeras ! Je te le jure ! Les ténèbres l’entouraient… Il laissa enfin couler ses larmes… Durant trente longues années, qui furent une torture mentale, sa vue ne s’ouvrait que sur le noir. Il respirait avec peine. Hojo avait raison… Il l’avait mérité. Parce qu’il n’avait rien fait pour Lucrécia… Pardonne-moi, Lucrécia… J’ai été trop faible…

**

Une lumière lui piquait l’œil. Une femme se trouvait devant lui et observait son épaule. Il était torse nu et des frissons lui parcouraient la peau. Il se sentit rougir, pudique.

« Ca se referme bien » Une plaie ? Où… où était-il ? Il bougea la jambe. « Vincent ? Vous m’entendez ? » La vois devenait aiguë puis grave, dans sa torpeur, tout était flou. Une main, une main froide se posa sur son front : « Vous êtes encore fiévreux.

- Où… où suis-je ? il chercha à se lever.

- Restez tranquille ! le gronda-t-elle gentiment, Vous êtes à Mideel, dans la clinique du docteur Kusuri.

- Vous… vous êtes son infirmière ?

Elle rit : - Non, pas vraiment. Mais je m’occupe de vous pendant son absence.

- Que…m’est il arrivé ? » Les formes se distinguèrent beaucoup mieux. Une jeune femme brune lui adressait un sourire. Une blouse blanche… Lucrécia ?

« Vos amis m’ont dit qu’un chasseur de tête vous a sauvagement attaqué. Vous rappelez-vous ? » Ah oui… il s'en souvenait à présent. Une morsure puis sa tête, devenue lourde, qui tournait et ensuite la fièvre. Et puis plus rien. Le néant… « Il faut vous reposer », dit-elle. Ce n’était pas une suggestion mais plutôt un ordre. Il ferma les yeux et le sommeil fiévreux s’empara encore de lui.

**

Il se trouvait seul parmi les ténèbres. Soudain, il L’aperçut. IL souriait cruellement. Il ne fit qu’un geste et LE tua. Il tua son péché, son erreur. IL ouvrit des yeux étonnés et mis sa main au niveau de la blessure par balle. Puis IL la retira et regarda son sang. Vincent n’avait pas bougé. IL changea de forme : c’était Lucrécia à présent. Elle avait la même blessure et les même yeux horrifiés. A travers le fils, il avait tué la mère. « Lucrécia » articula-t-il. Elle tomba à terre. Vincent courut vers elle, mais quelque chose, une force, l’empêchait d’avancer. Il voulait la prendre dans ses bras, l’étreindre une dernière fois. Le sang coulait du corps de Lucrécia. Elle ouvrit la bouche, ce ne fut que pour lâcher son dernier souffle. « Lucrécia ! NON ! NOOON ! Lucrécia ! Attends-moi ! Ne pars pas ! »

Un ricanement se fit entendre. Hojo se tenait à sa gauche, il riait et le désignait du doigt : « C’est toi le monstre ! Tu n’es qu’un monstre ! Bon qu’à tuer ! Monstre ! … Monstre ! … »

**

« NON ! NOOOON !

- Vincent ! Vincent ! Réveillez-vous ! Ce n’est qu’un rêve ! » Il eut un sursaut et se réveilla en sueur. La jeune femme le tenait par les épaules et le secouait. « Vincent ! Ce n’était qu’un rêve ! Vous allez bien ? » Il était sonné. Dainijijõ le regardait inquiète. Il respirait rapidement. On frappa et la porte s’ouvrit sur le docteur Kusuri. « Eh bien ! Que se passe-t-il ici ? On m’a informé des événements. Je te remercie vivement, Dainijijõ. Avec mon infirmière en vacances, c’est dur ! Alors ?

- La fièvre le pousse dans des délires, mais le sérum commence à faire effet.

- Bien, c’est parfait !

- Bon, je sais vous laisser, docteur ! Mon assistante doit se demander ce que je fais !

- Ah ? Tu es sûre ?

- Oui, oui !

- Merci beaucoup. Au revoir !

- Au revoir ! » Elle partit en courant.

Pourquoi ? Pourquoi Vincent avait-il prononcé le nom de son amie et assistante, Lucrécia ? Se connaissaient-il ? Ou bien était une autre personne ? Cela expliquerait la pâleur de ses traits quand elle avait aperçu le groupe arriver dans Mideel. « Il faudrait que je lui demande » pensa Dainijijõ en poussant la porte. « Lucrécia ! Je suis rentrée ! »

 

***

Voilà fin du chapitre 4 première partie ! Les notes !

Dans ce chapitre, Il en arrive des trucs à Vincent ! Il se fait bouffer par un chasseur de tête, fais des cauchemars du passé… Et c’est pas fini ! Excusez-moi ô fans de Mister Valentine (donc une certaine personne… Hey ! Salut Boss !) Si je le fais souffrir… Mais bon… J’adore faire souffrir les gens ! Niark ! Niark ! * Regard de cinglée * Bref : Alors en principe un chasseur de tête(il en pullule plein autour de Mideel dans la forêt), ça empoisonne pas, donc j’ai inventé une théorie scientifique… Géniale, non ? Alors les rêves de Vincent : Bon le 1° c’est quand il va se faire enfermer dans le cercueil, bon pigé ? Cette théorie du bras de la cape de vampire et tout le reste c’est mon opinion, il y en a plein de différentes et je voulais pas plagier les autres. Les autres même j’en trouve plus plausible que la mienne celle de Sylvie par exemple. (PUB ! Lisez Catharsis ! lol !) Après cet encart publicitaire, revenons à nos moutons (et une rime !) Donc Hojo ! Pareil à lui-même face de rat, sadique, cruel, complètement cinglé (agit-il par jalousie vis à vis de Lucrécia ?) Au début, y avait pas « elle me manquera…patata » Je me suis dis bon Aya, t’aime pas Hojo mais bon ! C’est un être humain et puis s’il est sadique et que sadique on va s’ennuyer. C vrai peut être que Hojo a eu une enfance difficile ou quelque chose comme ça pour avoir ce comportement… Bref, il descend Vinnie peut être est-il jaloux, il n’aime pas les boulots ingrats. Il ose même insinuer que Vince aurait Violé Lucia ! Jaloux j’vous dis ! Mais bon, c’est parce qu’il déteste les Turks. Comment Hojo est assis sur Vincent ? EH ! Pas de Yaoi ! Rassurez-vous. C’est un fanart qui me l’a inspiré : Le voilou c’est de Glass Shard ! Qu’elle est douée ! J’ai plein de fanarts d’elle, ils sont supers ! Ah si seulement j’avais son talent…. * soupir * bref je le mets, l’ai trop cool Le 2° rêve : pas de dessin * sort papier crayons feuilles… * Non ? * remballe  * Sache que IL désigne Seph… Vous l’aurez compris…

Alors, passons à Dainijijõ ! C’est quoi ce nom à 2 gils ? Chut ! C’est un spolier ! Ahah ! Hey c’est une scientifique mais pas style Hojo ! NON ! Dainijijõ elle est à moi ! Sachez que plus tard… non ! Vous verrez bien ! Bon elle soigne Vinnie pas de toubib ! L’est en tournée. Il FALLAIT qu’AVALANCHE la rencontre ! C’est tout ! A propos de son assistante… Elle s’appelle Lucrécia… Ahah ! Chut c’est pour la suite…

Au fait Kyaku et Kusuri des mots Jap’. Donc Kyaku = Hôte (no comment) et Kusuri = médecine (Arf ! Arf ! Docteur Médecine ! Ahaha ! Trop tripant ! Ridicule ! ! ! )

Bon, j’sais pas y a peut-être encore des trucs à dire mais rien ne me vient à l’esprit… Sinon l’adresse c’est : nadeshiko@wanadoo.fr  ! C’est tipar pour la seconde partie de ce chapitre Yeeee haaaaaaa !

S’lut chers lecteurs(s’il y en a) Aya !

 

 

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