La Bibliothèque de la ShinRa corp.
La Petite Soeur
Chapitre 2
Fujin n’avait pas desserré les dents depuis qu’ils avaient quitté la BGU. Le train de marchandises dans lequel ils avaient embarqué filait lentement vers Dolet. Raijin ne comprenait toujours pas pourquoi Fujin ne voulait pas louer un bateau à partir de Balamb. Quand il avait posé la question, la seule réponse qu’il avait eue, c’était un coup de pied dans le tibia et « c’que tu peux être bête quand tu t’y mets ! ». En y repensant, il haussa les épaules. Fujin savait ce qu’elle faisait, il n’avait qu’à la suivre ; c’était plus simple comme ça. Il jeta un coup d’œil à son amie. Elle était assise sur une pile de caisses et regardait fixement devant elle. Le confort de ce train laissait à désirer. C’était un des inconvénient du voyage clandestin, mais Fujin n’avait pas eut l’air d’avoir envie de s’acheter un billet…
Il ne savait pas comment réagirait Cid quand il verrait que Fujin et lui s’étaient enfuis. Comme il faisait partie du conseil de discipline, Raijin savait que c’était le renvoi à coup sûr. Pourtant, il n’en avait rien à faire pour le moment. Le plus important était Fujin. C’était pour elle qu’il était dans ce train, pour qu’elle ne soit pas seule.
Raijin s’approcha d’elle. Elle leva la tête et le regarda tristement. Il passa son bras autour de ses épaules. Elle se blottit dans ses bras et…
Il reçut un petit caillou sur la joue.
-T’endors pas imbécile, on est bientôt arrivé.
La voix de Fujin le ramena à la réalité. Il regarda sa montre. Dans un quart d’heure ils arriveraient à la nouvelle gare de Dolet. Son amie n’ayant pas l’air d’avoir envie de discuter, Raijin décida de garder lui aussi le silence. Plusieurs questions lui venaient à l’esprit mais une surtout l'ennuyait :Pourquoi a-t-on assassiné les parents de Fujin ?
Assis à son bureau, le président d’Esthar portait plus d’attention aux fourmis qui transportaient un reste de pans cake qu’aux documents qui se trouvaient en face de lui. Un bruit de moteur le fit sortir de sa rêverie. En regardant par la fenêtre, il aperçut le Ragnarok près de l’astroport. Laguna fronça les sourcils. Cid ne l’avait pas prévenu d’une quelconque visite. Aussi décida-t-il de partir a la rencontre des nouveaux venus. Quelques minutes plus tard, à l’astroport, il vit descendre de l’appareil un groupe de SeeD épuisé.
-Ne fous ingiétez pas elle z’en zortira.
Geyser quittait la chambre d’hôpital ou se reposait Selphie.
- Je peux rester avec elle ?
Geyser se retourna vers Irvine. Ce fut pourtant Laguna qui prit la parole.
-Tu pourras venir la voir quand tu te seras reposé. Le ton était ferme et sans réplique. Irvine baissa la tête, l’air visiblement déçut.
-Bon maintenant allez vous reposer. On dirait que vous n’avez pas dormi depuis trois jours. Demain vous m’expliquerez ce qui vous est arrivé.
Squall n’arrivait pas à trouver le sommeil. Il ne cessait de repenser aux événements des deux derniers jours. C’était illogique qu’on les ait laissé partir. Aucun d ‘eux n’avait été questionné. À part leur faire perdre du temps… Ou les éloigner de Balamb ? Une chose était sûre, on les avait piégés. Quelqu’un connaissait donc leurs moindres faits et gestes. Ou quelque chose. En réfléchissant à toutes ces questions, il finit par s’endormir.
-Nous n’avions plus assez de carburant pour retourner à Balamb. Esthar était la seule ville accessible.
Comme d’habitude Squall venait de raconter le récit de leur mission. Laguna paraissait perplexe.
-Donc on vous a laissé fuir. Etrange. Hum……Vous voulez encore des croissants ?
Les SeeD se dispersèrent. Au dernier moment, Laguna reteint Squall.
-Squall il faut que je te parle. Nos techniciens ont révisé le Ragnarok. Ils ont trouvé deux choses alarmantes. Premièrement la jauge de carburant avait été délibérément faussée. Il restait largement de quoi aller jusqu’à Balamb. Deuxièmement ils ont trouvé ceci.
Laguna lui tendit une petite boîte carrée munie d’un objectif. Squall reconnu tout de suite une caméra caméléon, cette caméra qui prend automatiquement la couleur et la texture de ce qui l’entoure.
-Où était-elle placée ?
- Dans la salle commune.
Squall hocha pensivement la tête. Dans un certain sens, ça le rassurait. Cela voulait dire qu’on les avait espionnés à partir de cette caméra. Tous les membres de l’équipe étaient donc hors de tous soupçons : toutes leurs réunions et briefings se passaient dans la salle commune...
- Je vais faire analyser cette caméra pour savoir où elle transmettait les informations.
Squall remarqua soudain une ombre près de la porte restée entrouverte. Le voyant se retourner vers elle, l’ombre décampa à toute vitesse, suivi de peu par Squall.
Hélas pour celui-ci, il arriva dans un couloir désert. Squall continua un peu ses recherches, laissa tomber assez vite. Il n’avait aucune chance de retrouver son homme dans cet immense palais présidentiel. Revenant sur ses pas, il aperçut Zell, mais celui-ci affirma n’avoir vu personne à part Lui. Découragé, Squall retourna voir Laguna. Zell esquissa un sourire. Squall ne s’était pas rendu compte qu’il était à bout de souffle, ni même qu’il n’avait rien à faire dans ce couloir…
Cela faisait bien une heure que Fujin et Raijin étaient coincés au poste de police d’Horizon. Le vigile regardait tour à tour les deux personnes qu’il avait retenues à son poste. Ce duo ne lui inspirait pas confiance. En face de lui, la frêle adolescente aux cheveux gris semblait perdre patience, contrairement au jeune homme à la peau matte, d’au moins 1,90 mètres, qui l’accompagnait. C’est donc vers ce dernier qu’il se tourna.
- Pouvez-vous me dire ce que vous faites à une heure pareille en compagnie d’une mineure ?
Raijin soupira. C’était la troisième fois que ce policier lui posait la même question. Il s’apprêtait à répondre quand Fujin prit la parole.
-Écoutez, il est deux heures du matin, nous sommes épuisés, laissez nous au moins téléphoner au maire Dobe…
Le gardien fit la moue. Il n’était pas commun que de jeunes voyous demandent à téléphoner au Maire… Il se leva, l’air contrit, et prit un trousseau de clés dans un des tiroirs de son bureau.
- Nous verrons ça demain matin. D’ici là vous êtes en garde-à-vue.
D’un geste de la tête, il leur intima de se lever, prêt à dégainer son arme au moindre geste suspect. Après avoir enfermé Fujin et Raijin dans une cellule, il retourna s’asseoir à son bureau.
Fujin se laissa tomber sur des banquettes du cachot.
-Bon, qu’est qu’on fait maintenant ?
Elle se tourna vers Raijin, Et du menton lui montra l’autre banquette.
- On dort. Tu vois une autre solution ?
Raijin haussa les épaules.
-Les cellules ne sont pas équipées d’écrans occultes. Il nous serait facile d’endormir le garde en utilisant la magie et une de nos G-Forces pourrait nous apporter la clé…
Raijin ressenti une violente douleur dans le tibia. Fujin venait d’y enfoncer le bout d’une de ses bottines.
- Bravo, bon plan ! Comme ça nous sommes recherchés « pour violence sur un représentant de l’ordre » et nous ne pouvons plus mettre les pieds dans cette ville !
Raijin frottait toujours son tibia douloureux.
- Fujin, tu m’as fait mal !
Elle secoua la tête et eut un sourire ironique.
- Tu m’en vois navrée…
Raijin poussa un soupir. Fujin se fichait pas mal qu’il souffre de ses sautes d’humeurs. De toute façon il avait l’habitude. Il s’allongea sur l’autre banquette et se mit à fixer le plafond. La cellule était plutôt propre… Il laissa passer quelques minutes puis, voyant que Fujin ne dormait pas, il reprit la parole.
- Fujin… Je comprends toujours pas, pourquoi t’as pas voulu qu’on parte directement de Balamb ?
Fujin soupira d’exaspération Il ne comprendra jamais rien…
- Réfléchis un peu : on est connu à Balamb, et même on n’est pas spécialement apprécié là-bas, tout le monde sait que nous venons de la BGU, nous n’aurions jamais trouvé quelqu’un qui accepte de nous prêter un bateau, ni même de nous en louer un, tu ne crois pas ?
Raijin se tut. La logique de Fujin lui échappait totalement la plupart du temps, mais le plus souvent elle avait raison…Finalement, le plafond avait quelque chose de fascinant et Raijin se mit une fois de plus à le contempler rêveusement.
Raijin dévisageait l’homme d’une cinquantaine d’années qui était en train de serrer Fujin contre lui. Celui-ci leva la tête, repoussa légèrement Fujin et détailla rapidement Raijin des pieds à la tête.
- Je ne crois pas que nous ayons été présentés dit-il en guise de salut.
Puis il jeta un regard interrogateur à Fujin. Elle secoua légèrement la tête.
- J’oubliais.
Celle-ci désigna Raijin du menton.
- Je te présente Raijin. Raijin, Erick, mon parrain. C’est aussi le maire d’Horizon.
Les deux hommes échangèrent une brève poignée de main, puis le maire se retourna vers Fujin, et tout en commençant à avancer, glissa à son oreille
- C’est ton petit ami ?
Fujin secoua vivement la tête
- T’es fou ?
- Alors pourquoi il t’accompagne ?
- C’est mon meilleur ami.
- C’est tout, tu es sure ?
Au regard noir que lui jeta Fujin, il éclata de rire. Lui ébouriffant les cheveux, il reprit la parole.
- Toujours aussi susceptible, hein ?
Fujin haussa les épaules et passa une main dans ses cheveux courts pour tenter de les recoiffer.
- Bon, maintenant, passons aux choses sérieuses. Je suppose que tu n’est pas venue ici pour une visite de courtoisie. Vu l’heure à laquelle tu es arrivée, je ne pense pas que la BGU t’ait donné son accord pour venir ici...
- Brillantes déductions ! Ironisa Fujin.
Erick prit un air faussement fâché.
- Hé, tu parle à ton tuteur maintenant ! Alors un peu de respect !
Fujin n’y avait pas pensé. Elle n’était pas majeur, donc son parrain était responsable d’elle. Erick n’avait jamais apprécié qu’elle aille étudier à la BGU, c’était un pacifiste convaincu. J’espère qu’il me laissera continuer... La voix de son parrain la fit revenir à la réalité.
- Fujin, je voudrais te parler en privé...
Il jeta un coup d’œil à Raijin, qui les suivait sans dire un mot. Fujin secoua la tête.
- T’inquiète pas, tu peu parler devant lui, je lui fait pleinement confiance.
A son tour, le maire Dobe secoua la tête.
- Je préférerais vraiment te parler en particulier...
Soupirant, Fujin se tourna vers son ami.
- Raijin...
- C’est bon, j’ai compris, je vais faire un tour en ville.
Raijin s’éloigna rapidement d’eux, les main dans les poches. Fujin le suivit quelques instants de l’œil puis se retourna vers son parrain.
- Je suis toute ouïe...
- Je préférerais que l’on aille chez moi.
Fujin fronça les sourcils.
- Mais...
- Ne t’inquiète pas pour ton copain, il saura te retrouver : la ville est petite.
Piquée au vif par le ton ironique du maire, la jeune fille répondit rapidement
- Mais c’est... Qu’il est tellement bête qu’il pourrait se perdre dans un autobus !
Enfin, ils arrivèrent à la maison du maire.
Soupirant, Erick fit asseoir Fujin et prit place en face d’elle.
- Ecoute Fujin, je sais que ça va être dur pour toi, mais je pense que tu à le droit de savoir, puisque tes parents ne sont plus...
- Arrête de tourner autour du pot, dit moi ce qui ne va pas.
- C’est au sujet de ta naissance. Personne ici ne connaît tes véritables origines.
Fujin recula légèrement dans son siège, l’air totalement perdue.
-Co... Comment... Que... Que veux tu dire par là ?
- Ta mère était stérile, Fujin. Pourtant, tes parents désiraient plus que tout avoir un enfant : ils ont donc décidé d’en adopter un. Il y à 17 ans, ils se sont rendu à un orphelinat, tenu à l’époque par un jeune couple, les Kramer. Je pense que tu devine aisément la suite : ils ont trouvé un adorable bébé qui avait à peine huit mois, qui s’appelait Fujin...
Fujin baissa la tête, et un pesant silence s’abattit dans la salle. Après plusieurs minutes de silence, Fujin reprit la parole, d’un ton froid.
- Est-ce que tu à quelque chose d’autre à me dire ?
Comme Erick secouait la tête négativement, elle reprit.
- Dans ce cas, je vais aller chez moi...
- Tu veux que je vienne avec toi ?
- Si ça ne t‘embête pas, je préfère être seule...
Quelques instants plus tard, Fujin marchait d’un pas décidé vers sa maison qui était peu après la gare. Finalement, elle était contente que Raijin n’ait pas assisté à cette discussion. Il n’aurait de toute façon jamais du être ici, dans cette ville. L’arrachant de ses pensées, une main frôla son bras. Fujin se retourna, envoyant le plat de sa main à la rencontre de l’inconnu. Heureusement pour lui, Fujin reconnu l’ « inconnu » et stoppa son geste à quelques centimètres du visage de Raijin.
- Hé, du calme Fujin !
- Imbécile ! Tu m’as... La prochaine fois, je n’arrêterais pas ma main en si bon chemin.
Bientôt, ils arrivèrent devant la maison de Fujin. En entrant celle-ci eut un haut le coeur en sentant une odeur de sang, mélangée à celle de la mort. Personne n’avait du mettre les pieds dans la maison depuis
... Depuis quand exactement? Les meubles étaient pour la plupart renversés, les fauteuils éventrés. Soudain, Fujin trébucha sur quelque chose: une forme humaine recouverte d'un drap blanc, qui, à certains endroits, était imbibé de sang. Respirant un grand coup, elle souleva un coin du drap, et vit le cadavre de son père, la gorge tranchée. Elle crut qu'elle allait tomber, mais elle réussi à se contrôler et referma le drap sur le visage de son père. Fujin serra les poings. Ils payerons. Elle ne savait pas qui avait fait ça, mais ils payeraient. Elle se vengerait. Contrôlant le tremblement de sa voix, elle se tourna vers Raijin.- Je monte à l ‘étage, regarde si tu peux trouver un quelconque indice ici.
Raijin acquiesça, tandis que Fujin montait ces escaliers qu’elle avait gravit tant de fois auparavant. Elle s’approcha de la chambre de ses parents, et, avec une certaine appréhension, ouvrit la porte. Devant la vision d’horreur qui s’offrait à elle, Fujin eut peine à retenir le cri qui lui montait à la gorge : les draps du lit étaient couverts de sang, ainsi qu’une partie de la moquette. Sur les murs, plusieurs traces montraient qu’on avait utilisé la paramagie et une forte odeur de charogne se dégageait de la pièce. Au centre, il y avait un autre corps...
Fujin referma vivement la porte, refusant d’en voir plus. Respirant profondément, elle lutta contre l’envie de se mettre à pleurer.
Le cris de Raijin la firent revenir à la réalité.
- Fujin, amène toi, on à de la visite !
Fujin, dégainant son Chakkram, descendit les escaliers à toute vitesse. Plusieurs personnes entouraient Raijin, qui tenait son bâton d’un air menaçant. Pourtant, il restait immobile. Soudain, un immense monticule de terre sortit de nul part fit face aux attaquants. Au sommet, se tenait un vieillard totalement drapé de blanc et dont la barbe touchait le sol. Fujin comprit avec soulagement que Raijin venait d’invoquer sa G-Force, Ramuh. La créature leva le bâton qu’elle avait en main vers le ciel. Une pluie d’éclairs s’abattit sur les assaillants qui faisaient face à Raijin. Fujin profita de la surprise qu’avait causée l’invocation pour lancer un sort Tornade sur ses ennemis et rentrer dans la bataille. Fujin prit quelques secondes pour les analyser. Ils avaient l’air plutôt résistants : Ramuh ne semblait pas leurs avoir fait réellement mal. Elle se rapprocha de Raijin. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi leurs ennemis n’attaquaient pas. Soudain, tous en même temps, ils tendirent la main. Un voile sombre tomba autours de Fujin, et elle sentit un sort d’aphasie la prendre à la gorge : impossible d’invoquer ou d’utiliser la paramagie. Elle entendit un bruit sourd. A côté d’elle Raijin venait de s’écrouler, sûrement assommé. Elle reçut un coup sur la nuque. Tandis qu’elle sombrait, elle compris qu’ils s’étaient fait piéger...
- Et la camera ne menait à rien. Elle n’émettait pas. Nous sommes donc rentrés comme vous l’aviez demandé, dès que Selphie est allée.
Après avoir terminé le rapport de mission, Squall se rassit. En face d’eux Cid semblait perdu dans ses pensées.
- Nous réfléchirons à cette histoire plus tard. Pour le moment, j’ai une mission urgente pour vous. Vous devez retrouver Fujin et Raijin.
- Comment ça, ils ont disparu ?
Quistis posa une main sur le bras de Seifer, lui faisant comprendre qu’il devait se calmer.
Cid eut l’air gêné, mais continua de parler sur le même ton.
- Laissez moi vous raconter l’histoire en entier. Il y a sept jours, Fujin a appris l’assassina de ses parents. Comme nous n’avons pas voulu qu’elle parte enquêter, le soir, elle et Raijin sont partis en assommant un élève, Ilhan Malcolm , qui faisait un tour de garde près de la serre de combat. Nous supposons qu’ils sont partis pour Horizon, étant donné que c’est là qu’habite Fujin. L’indicateur que nous avons sur place nous a informé qu’ils avaient été capturé par un groupe terroriste, dénommé Hirris. Vous allez partir pour Horizon. Là bas, vous rencontrerez notre indicateur, prés de la gare, après demain à 09h30. Elle vous dira : « les eaux du lac ont bien changé » ; vous devrez alors répondre : « Mais les Diodons sont toujours là. ».
Des questions ?
- Pourrais t- on avoir plus de renseignement sur cet « indicateur » ?
Le proviseur se tourna vers Zell.
- Il y a neuf mois, nous avons été contactés par une jeune fille qui disait avoir des informations qui pouvaient nous intéresser. Nous avons organisé un rendez vous, près de Dolet. Les renseignement qu’elle nous à fournie se sont avérées exactes. Cette organisation est très puissante. Les information qu’elle nous fournit depuis lors nous ont toujours beaucoup aidé. La plupart du temps elle nous contact via internet... Elle est plutôt douée avec les ordinateurs d’ailleurs. Pendant votre mission, vous ne devez rien faire qui la mette en danger, elle est très importante pour la BGU.
Zell réprima un sourire. Il savait maintenant qui était la taupe au sein de Hirris. Il devait prévenir Mallone au plus vite...
- D’autres questions ? Bien. Prenez du repos, vous partirez dans quatre heures avec le Ragnarok. Rappelez vous, dit Cid aux SeeD qui s’apprêtaient à sortir, ceci est une mission de sauvetage, vous devez juste ramener Fujin et Raijin sain et sauf. Vous ne devez rien tentez contre Hirris, compris ?
La réunion ayant prit fin, Zell se précipita dans sa chambre, et s’enferma à double tour. Il s’assit en face de son ordinateur. Il devait au plus vite prévenir Hirris que le ver était à l’intérieur de la pomme...
Succube à explosé, nous tenons enfin le hotrock recherché. La pierre était dans les entrailles de la bête, comme nous le présumions. Il n’y avait pas d’autres monstres dans la grotte.
Notre jeune recrue semble dissimuler quelques failles, elle ne sait pas qu’il ne faut jamais se frotter aux Bogomiles qui peuplent les plaines...
***
Notes :
Voilà mon deuxième chapitre terminé, et IL RENTRE DANS MON TIMING !!!! (c’est très important pour moi) Pour lui rien de spécial, à part un personnage qui entre en scène : le maire Dobe, Erick de son prénom (j’arrive pas à savoir si c’était dans le jeux où pas, mais je trouve que « Erick Dobe » ça sonne bien) Il à un caractère assez sympa, du moins pour moi. Il connaît Fujin depuis qu’elle est toute petite, et il la connaît bien. Son allusion sur les liens entre Fujin et Raijin, c’est pour deux raisons : un, je trouve qu’ils feraient vraiment un joli couple {exemple : - ma douce... (il se prend un coup de poing dans l’estomac) - Je t’ais déjà dit de pas m’appeler comme ça, imbécile ! ! - Fujin, tu m’a fait mal ! (elle s’approche de lui) - Oh chéri, je suis désolée... (je passe le reste, vous imaginez aisément la suite(n’en imaginez pas trop quand même, j’ai pas encore 14 ans alors mes persos restent corrects pour le moment)...)} ; deux, je pense que quelqu’un comme Erick s’imagine vite ce genre de chose, surtout pour « taquiner » Fujin (enfin perso, il est pas trop mal, Raijin ^_^). Bon voilà pour Erick (enlevez le i du nom pour voir) j’y reviendrais au chapitre 5 ou 6 (en théorie 5, tout dépend de la longueur de mes paragraphes).
Il y à moins d’action que dans le premier chapitre, du moins à mon goût, mais je ne pouvais pas passer direct à : ils se font enlever, sans passer par - la révélation des origines de Fujin, - Découverte du « rôle » d‘Erick dans la vie de Fujin.
Bon sinon voilà c’est tout, merci d’avoir lu ce chapitre, et si vous avez des questions, n’hésitez pas : Aliazanetsu@aol.com.
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