La  Bibliothèque  de  la  ShinRa  corp.

 

 

Exil

 

Chapitre 2 : " Il est vivant ! "

 

Devant une fenêtre ruisselante de gouttelettes. Château d'Alexandrie.

-" Il pleut… Ca faisait depuis trois mois déjà qu'il n'avait pas plut une goutte sur mon royaume, Alexandrie. Depuis la disparition de Kuja, le frère de Djidane… Il n'avait pas l'air de trop souffrir de sa mort. Mais, une semaine après, il s'était mis à pleurer. J'ai paniqué. Eiko a fait ce que je devais faire. Elle l'a consolé. Moi, je n'ai pas bougé. Je suis resté plantée là, sans rien faire, à tenter de dénicher le pourquoi du comment. Djidane avait l'air si malheureux. Kuja aurait put lui dire des tas de choses. Mais voilà. Il est mort. Les Génomes, son peuple, le respectent et l'ont pris comme exemple. Ils ont bâtit une ville et s'y sont installés. Ils sont tous différents, mais tellement identiques. Kuja, qu'étais-tu vraiment ? Un allié ou un ennemi ? L'ange de la mort n'est plus, Djidane sombre de plus en plus dans la déprime. J'ai peur. Je me fais peur. Je me surprends le soir en voyant Djidane pleurer devant le feu de la cheminée, à souhaiter que Kuja ne sois pas réellement parti. Il avait bon fond, finalement. Je le comprends, mais trois mois après. Tout cela m'attriste. Je ne sais plus quoi faire. Dois-je redevenir muette ? Non. Non, non et re-non ! Je ne dois pas laisser Djidane souffrir encore davantage ! C'est décidé ! Je vais lui parler ! "

La porte claqua. Des pas précipités marchèrent dans l'escalier en direction de la salle des gardes. Contrairement à la scène à laquelle elle s'attendait, Djidane riait. Elle se dirigea vers lui, prit un air renfrogné et le regarda droit dans les yeux, les poings sur les hanches.

-Tu es vraiment étrange, toi ! D'abord tu pleures, après, tu ris ! Je ne te comprendrais jamais !

-Dagga ! Je peux tout t'expliquer !

-Mais je t'écoute ! Parle mon ami ! Je suis toute ouïe !

-Tu me fais peur…

-KOA ! C'est plutôt toi qui m'as fait peur ! Durant tout ce temps que tu pleurais et que je me faisais un sang d'encre ! Bon alors, tu accouches, oui !

-Euh ! … Oui Dagga ! Tu sais que j'adore quand tu es en colère ?

-C'est vrai ?

-Bien sûr !

Laissons les roucouler et dirigeons-nous vers la sortie.

Taudis. Alexandrie.

<< Flap ! Flap ! >>

-" Ah ! Belle Alexandrie ! La ville ou les tourterelles roucoulent sans aucun souci. Pff ! Je trouve cette ville trop poétique à mon goût. Heureusement que les voleurs y mettent un peu de distraction ! Tiens ! Et si j'allais voir la pièce de ma " sauveuse " Bien, allons-y ! Cela ne fera qu'enrichir ma culture théâtrale ! "

L'homme à la cape violette, car c'était lui, avança tranquillement dans les ruelles vers le café-théâtre de Rubis. Les rues étaient devenues sombres mais des enfants continuaient à y jouer. Il les regarda d'un air amusé et traversa la grande place pour accéder à la ruelle du café. Sa cape marquait chacun de ses pas et les pièces qui étaient dans sa besace faisaient un petit " gling gling " agréable. Avant d'entrer, il recompta ses gils.

-10 200… J'ai déjà vu mieux. Mais bon. Même les nobles doivent un moment vivre dans la misère.

Il ramena d'un revers de main ses mèches grises qui dépassaient de sa capuche et entra. Une ambiance chaleureuse et bonne enfant y régnait comme à son habitude. Rubis fut étonnée de voir celui qu'elle avait aidé et elle l'installa à une table devant la scène. La pièce commença. Soudain, un homme entra en coup de vent dans le café et hurla :

-Ils ont attrapé la petite ! Ils ont attrapé la petite ! C'est horrible ! Elle va être jugée sur-le-champ ! Isaac le vendeur à insisté pour que tu assiste à son procès ! Il est ignoble !

Rubis demanda à Ashley de s'occuper des personnes dans le café et alla rejoindre l'homme. Notre homme à la cape violette repoussa une de ses mèches en essayant de faire en sorte que l'on ne voit pas ses cheveux.

-" Un procès, voilà qui sera plus intéressant. Allons-y. "

Il se fraya un passage et se dirigea vers le Château d'Alexandrie. Il gravit les marches quatre à quatre et un garde lui barra le passage. L'homme lui donna un motif et franchit l'entrée.

-" Hmm… Cela fait déjà trois mois que je ne suis pas entré dans ce château. "

-Vous disiez ?

L'homme se retourna. Il vit la femme souris qui lui avait adressé la parole. Elle sourit devant lui et dit en s'inclinant.

-Je me prénomme Freyja. Enchantée de faire votre connaissance. Malheureusement, ce ne sont pas de très bonnes conditions pour une rencontre. Vous savez, moi qui voulais juste voir la reine, je vais la voir, mais juge dans un procès. Cela me met fort mal à l'aise. Pas vous ? Ho ! Désolée ! Je ne vous ai même pas laissé parler !

L'homme pouffa quelques instants devant la mine embarrassée de la jeune femme. Puis il s'inclina devant elle et lui fit un baise-main.

-Mon prénom n'a aucune importance, voyez-vous. Je ne suis qu'un modeste voyageur.

-La façon avec laquelle vous parlez me montre que vous avez été noble. Je me trompe ?

-Vous ne vous trompez pas, Dame Freyja. Je suis bel et bien un noble. Je parcours le monde à la recherche de choses nouvelles à apprendre.

-Ceci est fort bien. Vous aussi allez assister au procès de la petite Tièfly ?

-Oui, Dame Freyja. Cela m'occupe. Cela fait déjà trois mois que je ne suis pas revenu à Alexandrie. La belle Alexandrie.

-Trois mois vous dites ? Cela fait fort longtemps alors ! Bien, nous nous reverrons tout à l'heure !

La bloumécienne se retourna et continua son chemin.

-" J'ai mentit par instinct. Tant mieux d'ailleurs ! Si je lui avais dit mon vrai nom elle m'aurait… brrr ! … Elle m'aurait sans aucun doute tué. Ah ! La belle affaire ! Je suis à l'endroit où sont mes ennemis ! Il va me falloir être très prudent. "

Il repartit vers la salle du procès. La pièce ressemblait de plus en plus à une fourmilière. Elle grouillait de monde et notre homme se fraya un passage au premier rang. Un coup se fit entendre et les discussions cessèrent. Un homme petit et rabougri s'installa à la place du juge et les gardes emmenèrent " la petite ". Elle semblait éblouie par la salle et les chandelles. Des murmures s'élevaient de chaque rangs devant lesquels elle passait et alla s'installer à la place de jugement telle une petite princesse. Malgré ses habits déchirés, ses cheveux en bataille et ses joues sales, son visage était celui d'une poupée. Elle ramena ses mèches rousses en arrière et regarda encore une fois la pièce attentivement. Puis, une fois son tour de scrutation terminé, elle se réinstalla et se mit dans une position confortable.

-Mademoiselle Irina Alicia Eleanor Tièfly, surnommée " la petite ", le marchand Isaac vous accuse de vol, de dégradation d'étalage, d'insultes et de violence. Etes vous d'accord avec ces propos ?

-Tout à fait !

Elle lança des clins d'œils à tous ses amis dispersés dans la salle. Puis elle reprit parole.

-Et ce n'est pas aujourd'hui que vous et vos gardes parviendrez à me faire exécuter ! Nous, les enfants des taudis, n'avons que de vieilles charrettes pour nous amuser ! Donc, dès que le jour du marché arrive, nous nous défoulons sur les marchands. Et puis, je sais que si vous me mettez en prison, il y aurait une énorme révolte des habitants d'Alexandrie. Alors, on veut toujours m'accuser ?

La reine Grenat entra telle une furie dans la salle.

-Cessez donc ce procès ridicule !

-M… Votre Majesté !

-Cette accusation est vraiment ridicule ! Cette salle est réservée aux vrais procès ! Et puis je trouve les arguments de mademoiselle Irina totalement justes ! Donc, Sieur Isaac, vous êtes prié d'arrêter vos procès impalpables et de quitter cette pièce sur-le-champ !

Elle repartit aussi vite qu'elle était apparue. Des discussions envahissaient la salle à une vitesse vertigineuse et Isaac dut subir toutes les mauvaises blagues des amis de l'accusée. Celle ci lui tira un bout de langue et s'en alla fièrement, escortée par sa garde personnelle : les habitants des taudis.

-Tout est rentré dans l'ordre !

-Vous en avez l'air soulagé, Dame Freyja.

-Bien sûr ! Cette accusation était vraiment inutile ! Les habitants des taudis forment au moins 60 pour cent de la population d'Alexandrie. Isaac n'avait aucune chance. Mais parlons d'autre chose. Que diriez-vous d'un verre au café-théâtre ?

-Volontiers, Ma Dame.

Freyja partit, escortée de notre homme. Au moment où ils traversaient la grande salle, une petite bombe violette se jeta sur la bloumicienne.

-Freyja ! Tu vas ou ?

-Eiko ! Tu es lourde ! Sors de sur moi s'il te plait !

-Heu … D'accord !

La fillette s'écarta et Freyja put enfin respirer. L'homme à la cape violette l'aida à se relever. Eiko l'examina attentivement.

-T'es qui toi ?

-Un ami de Freyja, petite Eiko. Mais mon prénom n'a aucune importance.

-Ta voix me semble familière. Qui sait, j'ai peut-être rêvé ! Hihihi ! Excuse-moi !

-Cela n'est pas bien grave, tu sais.

-Et maintenant Eiko, tu peux me dire ce que tu avais à dire ?

-Bin, je voulais juste savoir où tu allais.

Freyja roula des yeux vers le plafond. Eiko se tenait les mains derrière le dos et baissait la tête. L'homme quant à lui se retenait d'éclater de rire. Freyja baissa les yeux vers la fillette et lui dit d'un air mi-amusé mi-agacé :

-Tu sais Eiko, lorsque l'on veut savoir quelque chose, il fait employer la méthode douce. Surtout lorsque la personne à qui tu veux poser la question et avec quelqu'un d'autre.

La fillette acquiesça et Freyja reprit sa route avec son compagnon. Celui ci laissa tomber quelque chose. Eiko ramassa l'objet et l'examina. C'était une petite bague en or qui ressemblait à celle de Djidane.

-Monsieur ! Monsieur ! T'as perdu quelque chose !

-Merci Eiko. Cette bague à une très grande valeur pour moi.

La fillette lui rendit sa bague et partit toute fière. L'homme mit sa bague à son doigt et suivit Freyja. Ils franchirent la petite rivière qui séparait le château de la ville et pénétrèrent dans les ruelles obscures. Ils arrivèrent enfin au café-théâtre et s'installèrent à une table. Rubis s'approcha de leur table en fronçant les sourcils.

-Dites moi, vous. Vous ne deviez pas regarder ma pièce de théâtre ?

On entendit une mouche voler. Freyja brisa le silence qui régnait en disant qu'il était partit d'urgence au procès de la petite. Rubis fit une mine de compréhension et prit leur commande. Une adolescente fit son entrée. Elle se dirigea vers la table de Freyja en courant.

-Dame Freyja ! Dame Freyja ! Que je suis contente de vous revoir !

-Mikoto ! Ca fait un bail ! Il me semblait que tu voulais rester à Tréno.

La petite Génome tortilla sa queue de singe.

-Ben, je voudrais re voyager avec vous…

-Mais bien sûr ! Quand tu veux, tu repars avec moi !

Les yeux bleus de Mikoto brillèrent soudainement.

-C'est vrai ?

-Oui.

-Vrai de vrai ? ?

-Oui.

-C'est la véritable vérité qui est vraiment vraie ? ? ? ?

-Oui.

-MERCI FREYJA !

-Oui.

-Euh ! Ca va Freyja ?

-Oui.

-Je peux vous tutoyer ?

-Oui.

-Tu sais dire autre chose que oui ?

-Non.

-Hihihi ! Tu t'es faite avoir !

-T'es agaçante parfois Miko.

-Je sais ! Si tous les Génomes étaient des savants sans le sens de l'humour et celui de l'agacement, ce que se serait c…. !

-Ho ! Mikoto ! Tu devrais avoir honte de ce que tu viens de dire ! Il y a des nobles à cette table !

L'homme à cette table buvait tranquillement lorsque l'adolescente lui attrapa fermement la main et examina attentivement sa bague.

-Tu permets que je t'emprunte ton copain, Freyja ?

-Tu me le ramènes !

-Ouaip !

La Génome amena l'homme à la cape dehors. Celui ci, amusé par la réaction de la jeune fille, la suivit docilement.

-T'as la marque ! T'as la marque ! T'es un des notre, n'est ce pas ?

L'homme hocha la tête.

-T'es qui ?

-Si je te le dis, tu m'étripes…

-Ta voix m'est familière… T'es un de ceux qui ont quitté Terra il y a 13 ans ?

-Non… Tu me connais, j'en suis sûr. Tous les Génomes me connaissent.

-Guh ? T'es pas un peu mégalo, toi ?

-Non, juste qu'après ce que j'ai fait, il est difficile de ne pas me connaître.

-Ben alors, je fais partie de ceux qui te connaissent pas. Enchantée ! Bon, alors, tu me dis qui t'es ?

-Si tu veux vraiment savoir… Tu vas être surprise…

-Boarf ! Après ce que j'ai vu avec Freyja, plus rien me fait peur ! Je suis une dure à cuire, moi !

-T'es sûre ?

-Sûre de sûre !

-Tu es vraiment sûre ?

-Puisque je te le dis !

-Alors, si tu n'as vraiment peur de rien, promets moi de ne pas crier lorsque tu me verras.

-Je promets, je jure et je crache !

-Hey ! Me craches pas dessus !

-Hihihi ! Désolée !

L'homme regarda aux alentours si personne ne les voyait et souleva sa capuche. La jeune fille poussa un cri en voyant le visage de cet inconnu qu'elle connaissait.

-Tu vois que tu n'es pas si dure à cuire que ça !

-K… Kuja ! Que tu as changé ! Il me semblait que tu étais mort ! Tu vas bien ? Qu'est ce que tu fais ici ? Pourquoi tu t'es pas montré à Djidane ? Il était en pleurs de te savoir mort ! Il tombait dans la déprime ! Grenat était folle d'inquiétude ! Elle voulait même que tu reviennes !

-Je… Je… Je n'ai pas pu venir… Tu ne sais pas ce que c'est, toi, lorsque tu es loin de ceux qui t'aiment et que tu aimes. J'étais loin. Dans un autre endroit. Un autre monde. La Rivière de la vie.

Il baissa la tête. Des larmes ruisselaient sur ses joues pâles. Ses cheveux dansaient dans le vent. Ceux de Mikoto aussi. Il se retourna. Freyja passa la tête par l'escalier. Elle vit les yeux de Mikoto se remplir de larmes. Elle s'inquiéta. Mikoto se mit à parler

-Je suis désolée… Je ne savais pas que cela avait été aussi dur pour toi de revenir sur Héra… Nous, nous ne nous soucions pas vraiment de cela… Nous sommes des idiots… J'espères que tu nous le pardonneras…

-Miko, ça va ?

-Moi je vais bien Freyja. Ne t'en fais pas… Ca va me passer… Une limonade me fera du bien…

L'adolescente descendit l'escalier qui menait à l'intérieur du café. Freyja se retrouva seule avec l'homme. Elle ne se douta pas de son identité malgré ses cheveux de couleur anormale. Elle s'approcha de lui.

-Pourquoi pleure-t-elle ?

-C'est… A cause de moi…

-C'est parce que vous lui avez dit qui vous étiez ?

-Non… Nous nous connaissons, Freyja… Rappelez-vous…

-Je ne vois pas… Qui êtes-vous ?

-Celui qui a détruit votre ville, celle de Clayra, Madahine-Salee, Alexandrie…

-Je ne vous crois pas… Je… Vous pleurez !

Elle le retourna et poussa un cri d'effroi à la vue du visage de celui qui avait bouleversé le petit train-train tranquille de la planète.

-Ce n'est pas possible ! Tu es vivant ! Par quel prodige ?

-Je ne sais plus…

-Pourquoi es-tu à Alexandrie ? Tu sais très bien que tous mes amis sont là !

-Si seulement je savais pourquoi je suis là ça m'arrangerait bien !

-Tu ne sais pas pourquoi tu es là ? Tu es amnésique ?

-Vous voir, toi et Mikoto a ravivé en moi les durs souvenirs d'il y a trois mois et d'avant… Mais je ne sais plus ce que je cherche à Alexandrie…

Il regarda le ciel étoilé. Freyja réfléchit. Une voix rugit du bas de l'escalier.

-Moi je veux bien t'aider !

Mikoto avait écouté la discussion d'une oreille attentive et venait de sauter devant eux.

-Je veux venir avec toi ! Mon frère !

Freyja, poussée par l'enthousiasme de la jeune fille, se lança finalement.

-Moi aussi ! Même si tu as détruis ma ville et toutes les autres, je ne t'en veux pas !

-Tu es vraiment sûre de ce que tu dis ?

-Euh ! Pas vraiment…

-Je m'en doutais ! Merci quand même !

Il retourna les talons et leva le camp sous l'air intrigué des deux filles. Mikoto dit en hochant la tête.

-Il a vraiment changé.

Freyja, tentant désespérément de re-boulonner sa mâchoire qui était tombée à terre sous la réaction imprévisible du jeune homme qui avait détruit sa ville, approuva.

-Le pire, c'est que tu as raison !

-Tu penses pas qu'on devrait prévenir Djidane ?

-Le prévenir de quoi ?

-Qu'est-ce que j'en sais moi ? Je n'ai que 16 ans ! Je suis sûrement trop jeune pour comprendre !

-Ce que tu peux être bête, des fois ! C'est pour cela qu'on t'aime ! Il y a une deuxième pièce. Tu veux la voir avec moi ?

-Ho oui ! Ca me ferai vachement plaisir !

Les deux amies se dirigèrent à l'intérieur du café-théâtre de Rubis.

Fin du deuxième chapitre. Maintenant, c'est l'entracte !

Pfiouh ! Enfin fini ! Je me perd dans les complications, moi ! Mon histoire veut pas démarrer ! Ouin !

Ahem, veuillez m'excuser de ce moment de chouinerie. Alors, je voudrais donner mes excuses au Grandissime Miraveilleux Merculleux ( Tu crois pas que tu en fais un peu trop Marine ? Nan ! ) Hironobu Sac-à-sushis ! Oops ! Je veux dire, Hironobu Sakagushi ! ^__^;; Ne m'en voulez pas, je ne suis qu'une simple collégienne, j'ai rien fait de mal ! Alors, Mikoto, Freyja, Kuja, et tous les autres à qui j'ai changé ( Ou vais changer ) le caractère, ne m'en voulez pas trop ! Et puis la fin, c'était pour décompresser le chapitre qui a été sûrement long au début. Voilà ! Aussi, je voulais dire … Guh ! Je sais plus ce que je voulais dire ! Ben, ciao !

En route pour le troisième chapitre… Dans la joie et la bonne humeur !

 

 

*****

 

* Lire le chapitre 3

* Retour au sommaire de cette fic

* Retour aux fanfictions