La Bibliothèque de la ShinRa corp.
Chronique de la guerre de l’anneau racontée par deux folles
PROLOGUE :
Quelque part près d’Orthanc, la citadelle de Saroumane le blanc. Il passa la main au-dessus de son Palantir [1]. L’œil de Sauron apparut. Saroumane frissonna sous le regard de son terrible maître. [2] Une voix sortit d’outre-tombe, une voix qui glaçait le sang :
_ Saroumane ! Où en sont les préparations ?
_Elles avancent mon seigneur, votre armée est prête !
_Bien, mais qu’en ai t'il de l’Istari ?
_ Gandalf ? ! Il a réussi à s’échapper, il a signé son arrêt de mort ! Ce n’est pas grave mes Uruk Haï vont…
_ Que dis-tu ? L’Istari s'est échappé ? Et tu pense que ce n’est pas grave ? Tous les ennemis de Sauron doivent être éliminés ! Et ceux qui aideront le porteur aussi…
_Il ne peut rien contre les neufs !
_ Comment oses-tu m’interrompre ? ! Sale vermine ! Sache que les neufs ont échoué [3] Nous ne pouvons laisser l’anneau être détruit. J’ai eu une vision du passé [4] Il ne nous reste plus qu’à commencer l’invocation des neufs « remplaçants »
_ A vos ordres maître, mais ne serais-ce pas dangereux ?
_ Ne mets pas ma parole en doute ! Si l’Istari sait notre plan, il ne va pas tarder à invoquer lui aussi d’autres alliés !
_ Qui serait assez fou pour se confronter à vous !
_ L’Istari est malin ! Il va trouver un moyen de nous combattre, il a bien réussi la dernière fois non.
_ C’était dans une autre dimension ! C’était une sorte de fin alternative !
_Oui mais il l’a déjà fait !
_Vous avez raison…
_Bien sûr que j’ai raison, c’est moi le patron non ?
_Oui oui bien sûr !
_Alors ne discute pas et obéit.
_Bien maître.
Le Palantir s’éteignit, laissant Saroumane dans ses propres réflexions. Après tout, ceux qui osent s’attaquer au seigneur Sauron ne peuvent être qu’insouciants… ou vraiment puissant.
***
Pendant ce temps, sur le même monde, à Fondcombe. Elrond avait une conversation avec Gandalf le Gris.
_Voyons Gandalf, pensez-vous que ce plan va fonctionner, se serais jouer le jeu de Sauron !
_ Exactement, et nous allons le battre à ce jeu-là ! S’il souhaite demander de l’aide à neufs combattants venant de mondes différents, nous ferons de même.
_ Demander de l’aide est un bien grand mot !
_Vous avez raison mais nous n’avons pas le choix. Quand commençons-nous le rituel d’ »Appel » ?
_Tout de suite !
_Et les hobbits ?
_ Glorfindel est partit les chercher. Le temps nous manque.
_J’ai déjà choisi les « élus » qui accompagneront le porteur mais qui allons nous choisir comme porteur ?
_ Il devra être courageux et remplit de sagesse…
***
Au même instant, quelque part en Bretagne :
_Diiiirooooole, à l’aide !!!!
_Quoi ! Que se passe t’il ??
_Là !!!!!!! Une araignée, elle est énooooooorme.
_Baka ! Elle est toute petite…
_Ecrase là s’il te plait !
_Ah non ! Je déteste qu’on écrase les insectes.
_Mais euh… t’ai méchanteu
_Vi ^^
***
Toujours en Bretagne, deux folles ( et oui) avaient réussi à se retrouver seule dans l’appart du père de Matou. Elles avaient décidé de se regarder le film, le seigneur des Anneaux tout en lisant le livre pour regarder les différences ! [5] Pour l’instant, elles se tapaient dessus à coup de coussins en courant dans toute la pièce !
_Tu va me rendre ce tome immédiatement.
_Nan, j ‘était en train de le lire !
_ Ouais mais il est à moi, c’est moi qui l’ai achetée !
_C ‘est pas une raison !
_ Ah, attend y a Aragorn là !
En effet pendant que la guerre faisait rage, la bande de la cassette tournait toujours et le bel Aragorn venait de faire son apparition à l’écran. Pendant que Matou se mettait à baver, la fourbe Dirole profitait de l’instant d’inattention de Matou pour lui infliger un coup d’édredon, surnommé le boudini©® [6]
Pour comprendre ce qu’il va se passer, à Montoir (en Bretagne, lieu ou se trouve nos deux héroïnes), il faut savoir « qu’il y a 3 lieux magiques et secrets, l’un dans la rue de l’amour des amis, le deuxième près du pont des merveilles et le troisième dans »[7]les toilettes de la dite maison, surnommée les toilettes vraiment étroites, si étroites d’ailleurs que l’on ne peut pas s’asseoir sans que les genoux touche le mur de devant…[8] Donc, revenons à nos.. édredons, après s’être fait lâchement attaquer, Matou décida qu’il valait mieux qu’elle aille faire un petit tour « là où vous ne pouvez pas aller à sa place » avant l’inondation.
Elle ne savait pas à quel point cette décision allait changer sa vie !
Elle lança donc son drapeau blanc et dévala l’escalier (raides).
Dirole resta donc seule devant la télé essayant de calculer le taux d’irritabilité de son amie, pour savoir si fallait quelle prenne position devant la porte des toilettes ou devant la porte des escaliers, avec son boudini si chèrement acquis ! Quand elle entendit un cri et un bruit de chasse d’eau !
Elle descendit les marches lentement, pas après pas, serrant son boudini dans ses bras au cas ou son amie l’attendrait au tournant.
Arrivé en bas, elle lança sa super vanne :
_Alors, on a peur de la chasse d’eau maintenant ?
Le silence ne daignât même pas lui répondre. La porte des toilettes ouvrait sur un trône vacant.
Dirole ne put articuler qu’un :
_Grumpf ©[9]
Resserrant son étreinte autour du pauvre coussin, elle entra dans la pièce où aurait du se trouver Matou. Malheur à elle. La porte se referma. Dès lors, elle refusa obstinément de s’ouvrir.
_Arrête, t’es pas drôle, c’est tellement étroit que j’suis obliger de m’asseoir si je veux respirer. Et pis d’abord, j’ai le tome 1 en otage !
On pourrait dire qu’elle se prit un vent phénoménal. De l’autre côté de la porte, une mouche passa [10], et eu un hoquet de surprise lorsqu’elle entendit de nouveau un bruit de chasse d’eau surnaturel précédé d’un « grumpf ? ! » Evocateur.
Puis le calme revint et la mouche allât se jeter dans la toile d’araignée qui avait réussi à survivre à Matou, l’Arachnophobe. La porte s’ouvrit à nouveau, sur un livre flottant dans une cuvette et un « boudini » orphelin… .
***
Notes de Matou : Kikoo, c’est ma deuxième fan fic écrite en co-relation avec ma Sempaï (j’suis pas sûr mais sa veux dire meilleure amie je crois ? Comme dans A.S avec Kira et Setsuna) Dirole. Alors soyez indulgent ^^ J’ai fait beaucoup de note parce que j’adore m’auto-critiquer.
(NDAngie, webmistress : Senpai est un terme japonais utilisé le plus souvent par les étudiants/collégiens pour désigner une personne dont l’expérience ou l’âge dépasse la sienne sans pour autant être un professeur. Les senpai sont en quelque sorte des tuteurs pour les p’tits jeunes qui viennent de débarquer dans l’école, quoi ! ^^)
[1] Bon, pour ceux qui ne connaissent pas Le seigneur des anneaux, c’est le téléphone portable des mages ^^
[2] Sauron-sama :p
[3] hi hi hi ! Pour ceux qui ont vu le film ou lu le livre, c’est un gros jeux de mot sur le passage de la rivière, et pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis la championne en titre des jeux de mots bidons ! Qu’on se le dise !
[4] Hitomi !!!!!!!!!!!!
[5] vous avez jamais essayé de le faire ?
[6] c’est une très vieille histoire qui date du deuxième âge !
[7] merci Hugo Pratt ^^
[8]authentique, j’vous jure !
[9] royalties ! :p
[10] bin quoi ! Faut bien qu’il y ait un point de vu extérieur.
Voilà, c’est la fin du prologue ! A bientôt pour le chapitre 1.
Pour les lettres d’encouragements, (j’en ai besoin) voici mon adresse MatooSelphieroth@hotmail.com . Pour les insultes et autres, voici l’adresse de Didi dirole@free.fr , nan, j’arrête cette adresse ne fonctionne pas^^ Le plus simple c’est que vous ne m’envoyer pas d’insultes ^^ (ND Dirole : Aurais-tu peur Matou ?) Grumpf ! Tu l’as écrite avec moi que je sache.
@+
Notes de Dirole : Booyaka, c’est moi l’irremplaçable Dirole (NDM : -_-) Donc, pour le prologue, on l’a écrit en même temps. Mais elle m’oblige à corriger ses fautes et la syntaxe ! Enfin, moi je considère ça comme un devoir. (NDM : ouais mais c’est moi qui tape tout !) Est-ce que je viens empiéter dans tes notes moi ? (NDM : vi !) Grumpf !.
Qu’es-ce qu’il y a d’autre à ajouter ? Pas grand chose, elle à tout dit en haut.
***
CHAPITRE 1
Première partie : Il est difficile de commander des esprits forts
A Orthanc, dans la salle du Palantir, Saroumane était en pleine conversation avec Sauron.
_Alors, sont-ils arrivé ?
_Oui, seigneur
_Bien, bien
_Êtes-vous sûr qu’ils ne se souviendront de rien …
_Ils n’ont en tête que le désir de servir l’anneau…
_Ah ! Parce qu’il y en a un qui m’a dit que sa mère lui avait demander de me ramener l’anneau
_C’est normal, ils interprètent la mission selon leurs histoires
_Ah !
_Où sont-ils ?
_Ils font connaissance.
Soudain la porte s’ouvrit. Une ombre s’avança en zigzaguant. Un gamin blond aux yeux bleus écarquillés, les mains portée à son cou apparut. Il se prit les pieds dans son très long mais néanmoins très beau trench-coat et alla s’écraser aux pieds du vénérable Saroumane. Celui-ci jeta un regard dédaigneux vers cette chose flasque, secouée de sobreseaux.
_Seigneur Seifer, qu’elle est la raison de cette intrusion ?
L’interpellé ne put émettre qu’un tragique « Urgl ! »
Saroumane se pencha pour observer le visage bleu de Seifer. Il marmonna un « je vois », s’excusa auprès de Sauron et sortit de la pièce trainant la loque humaine par le pied.
Lorsqu’il pénétra dans la pièce où les neufs se trouvaient, tous les visages furent tournés vers lui. Il se força à sourire et dit d’une voix qu’il espérait calme :
_Seigneur Rochel, je vous saurais gré de ne point distribuer vos gélules de plumes au reste de la troupe s’il vous plait.
L’interpellé baissa les yeux vers le pauvre Seifer, qui, souvenez-vous, n’avait pas cessé de prononcer des « Urg » incompréhensible depuis tout à l’heure. Rochel esquissa un sourire et dit :
_De toute ma mémoire d’Ange, je n’ai jamais vu d’humains s’étrangler avec une de mes plumes. N’est-ce pas Katan ?
L’homme que Rochel avait questionné lui jeta un regard vitreux et répondit machinalement :
_Vous avez raison maître Rochel.
Soudain, Saroumane perdit son calme (naturel ?) et s’écria :
_Mais, qu’est-ce qu’il fait lui ? Déjà qu ‘il ne devrait pas être là, si en plus il pourrit mon canapé.
Pour comprendre la réaction de Saroumane, il faut savoir que le seigneur Rochel était apparut serrant Katan dans ses bras, en bref, on avait pas pu les séparés… Il faut savoir aussi que contrairement aux apparences, Orthanc est la citadelle De Saroumane, c’est à dire que l’on peut qualifier cet endroit de « petit chez soit »… Sa vous plairais vous d’avoir un « chez vous » sombre, mal éclairé et très mal meublé ? En tout cas, cela n’aurait pas plus à Saroumane. Il avait donc aménagé sa citadelle selon ses goûts. La pièce où se trouvait les neufs était son boudoir personnel. Elle comprenait un canapé en cuir, une petite table en bois ancien, quelques bibelots, une cheminée avec un petit miroir et quelques tabourets… sans oublier la grande bibliothèque… Enfin, bref, c’était très coquet et Saroumane tenait à ce qu’il le reste… C’est pour ça qu’il venait de piqué une colère en voyant Katan passer du verni sur les ongles d’un Rochel dont les deux jambes était croisée sur la petite table. De plus, il faut dire que Katan n’est pas très doué et qu’il venait de renverser le flacon sur le beau cuir du canapé.
Rochel sourit de nouveau :
_Et bien, ce cher Katan me fait une petite manicure, il y a un prôbleme à cela ?
Saroumane, ne voulant pas vexé un être qui, même privé d’une partie de ses pouvoirs, était tout de même dangereux préféra oublier cet inscidant…pour le moment . Il interpella un autre homme qui se trouvait dans la pièce :
_Seigneur, auriez-vous l’amabilité de faire recracher sa gélule à se pauvre garçon ?
L’homme acquièçat , souleva un Seifer plus que bleu, passa ses mains autrou de sa taille et appuya brusquement sur son estomac. La gélule fusa hors de sa gorge pour aller se planter dans le beau miroir du 2eme âge, celui que Saroumane avait négocier pendant 20 jours à un nain avare. Le visage de Saroumane se décomposa pendant que Seifer murmurait un « merci » vraiment sincère à son sauveur. Les yeux de Saroumane commençaient vraiment à le piquer, il prit une inspiration et dit :
_Mes seigneurs, si vous voulez bien me suivre, il est temps de partir. Je vais vous présenter vos montures.
Il tourna le dos et sortit ne faisant même pas attention au « Oh non, mon verni n’est pas sec » que venait de gémir Rochel ».
Avant d’aller rejoindre les neufs aux écurie, il retourna voir Sauron qui l’engeula car, je site : « tu sais combien sa me coûte en forfait l’utilisation du palantir ? sa fait trois heures que je poirote ».
Saroumane se sentit soudainement seul, très seul.
***
Deuxième partie : Les plus petites choses peuvent êtres les plus importantes
L’ultime invocation avait commencé . Le respecté Gandalf méditait depuis plusieurs heures . Un silence pesant régnait dans la pièce circulaire . Les quelques personnes autorisées a assister au rituel étaient figées , osant a peine respirer de peur de troubler le magicien ..
C’est l’histoire d’une mouche , une toute petite mouche drosophile.
Cela faisait deux jours qu’elle avait " ouvert les yeux " . Elle avait entreprit de découvrir le monde car elle était dotée d’un esprit curieux .
Elle avait connu l’ivresse du fruit, vous savez celui qui commence tout juste a pourrir et qu fond délicieusement sous la trompe, mais hélas elle avait été chassée par une main peu compréhensive et errait désespérément.
Son être tout entier était maintenant consacré a la recherche d’un peu de sucre pour lui redonner la force nécessaire a sa survie.
Soudain les yeux de l’Istari s’ouvrent , ses pupilles dilatées fixent un horizon invisible .
Ses lèvres frémissent prêtes a accueillir la formule qui fera leur puissance.
Il a trouvé.
Le petit insecte épuisé se laissait porter pour les courant d’airs. Peut être était ce cela le destin d’une pauvre mouche…
L’épaisse barbe du grand homme ondule sous l’effet du pouvoir qui la parcoure.
Et puis non c’était trop bête, la nature ne pouvait pas être aussi mal faite . L’insignifiante bestiole planta ses pattes dans cette chose qui se présenta a elle . C’était moelleux . La mouche avança avec précaution jusqu'à trouver un endroit ou elle serait en sécurité loin des bourrasques qui pourraient l’emporter .
. Les mots, incompréhensibles pour le commun des mortels et des immortels se succèdent tantôts impérieux, tantôts doucereux.
‘’Salumanujutoréamépié
lilabiunkililaledelunié "’’
La cérémonie de l’appel avait toujours été un moment mémorable.
Comme toute bonne représentante de son espèce , la drosophile avait testé les lieux avec son outil favori .Or il advint que sa trompe fit connaissance avec un délicieux morceau de fraise des bois issu de l’agriculture biologique de la Lotherien.
Ce petit bout de fruit faisait partie du garde manger ambulant que constituait la barbe de Gandalf ,il avait eu la bonne idée de se placer juste entre la bouche et le nez du vieil homme ,endroit stratégique extrêmement sensible…
Plus que quelques vers et le magicien en aurait fini avec ce boulot répétitif et fatigant. Il était bien content de pouvoir enfin se détendre et penser a autre chose, a un bon bain par exemple ou a une tasse de chocolat chaud.
Vous avez déjà vu un sorcier éternuer ?
C’est très impressionnant, ses cheveux se dressent entraînant tout son cuir chevelu vers le haut.
Sa bouche s’ouvre et l’air s’engouffre dans cet aspirateur surpuissant.
Lorsque les poumons sont rempli a ras bord l’ouragan dévastateur est libéré !
‘’élenumélo conupulémuntélu éleuitu…
...é melde…
AAAAAATCHA ! ! ! ! ! !’’
La violence de cet éternuement fut telle que la responsable fut projeté dans l’espace interdimensionel….
En plus d’envoyer une pauvre mouche sans défense bourlinguer dans cet espace l’éternuement eu une autre conséquence : ce ne se fut pas un porteur qui apparut mais deux. Le plus étonnant c’est qu’elles atterrirent à environ 5 minutes d’intervalles, devant un Gandalf plus qu’étonné et un Elrond émerveillé par la puissance du magicien. La première des deux qui se releva fut Dirole qui avait bénéficié de Matopu comme amortisseur (NDM : de première qualitée). L’assemblée observa avec attendrissement la jeune fille se relever avec difficultée. Elle murmura un pitoyable « bonjour » et se prit un sort d’amnésie dans la tronche ce qui la projeta sur le sol. Gandalf était très gené d’avoir recouru à se vil stratagème mais il n’avait guère eu le choix. C’est vrai quoi, pas envie qu’on me rappel que j’ai fait une connerie pendant trois siècle, et pis pour une fois qu’on m’admire. Personne n’en saura rien, na ! Gandalf le roi de la débrouille !
Il allait lancer un deuxième sort sur Matou qui ne s’était toujours pas reme de son atterissage mais Elrond se tenait entre sa cible et lui. Alors que Gandalf, frustré relevait Dirole, lui inculquent au passage de faux souvenirs. Un cri inhumain perçat les tampans des pauvres âmes présente. En effet, le seigneur Elf avait délicatement retourné Matou, offrand à son regard endormit une vision d’horreur, un souvenir traumatisant [ NDm : c vrai que si on se base sur l’acteur qui joue le rôle d’Elrond dans le film, il a vraiment une tête à faire peur et je plaint le pauvre Frodon, un coup ta le superbe visage d’Arwen, un autre ta celui de son père, sa choque lol]
Elrond tenta un moment de calmer la furie qu’il avait réveillée puis, sentant que c’était une mission impossible, il la reposa sur le sol pour qu’elle se remette de ces émotions. Il se leva et se dirigea vers Dirole qui ce tenait aux cotés de Gandalf. Celui-ci semblait satisfait de lui. Le Demi-Elf se pencha vers la jeune fille qui souriait béatement :
_Bienvenue à Fondcombe, vous êtes dans ma demeure. Je me présente je suis le seigneur Elrond, puis-je vous demandez quel est votre nom ?
_Je me nomme Dirole
_Et bien dame Dirole, vous me paressé bien jeune pour la mission que l’on veut vous proposer.
_Maître Gandalf m’a tout expliqué. C’est un honneur pour moi de combattre à côté d’un grand magicien. Pour tout vous dire, je pratique l’art de lépée depuis l’âge de 8ans et je monte à cheval depuis ma plus tendre jeunesse. J’ai aussi quelques notions de magies mais rien comparée à celle de Gandalf l’Istari…
Elrond était impressionné par tant de sagesse et de maturité émanant d’un corps aussi… faible. Gandalf quand à lui jubilait intérieurement se délectant d’un si beua mensonge inventé en si peu de temps. J’me demande bien si j’arriverai à en faire autant avec la deuxième avant que l’on se rende compte que je me suis planté dans l’incantation et que l’on découvre que ces deux filles ne sont pas plus douées que moi pour porter l’anneau…. Malheureusement pour lui, il fut déranger dans ses méditations par une Matou qui l’appelait en tirant le bas de sa robe.
_Excuser-moi monsieur, euh, vous ne savez pas ou je pourrai trouver un buisson dans le coin… .
***
Revenons un instant à Orthanc, quelque part dans les écuries. Saroumane le blanc se tapait la tête contre un poteau. Le pauvre avait eu une journée harassante : les cavaliers n’avaient pas été très conciliants. Sur les neufs (10 en comptant le pauvre Katan qui s’était retrouver embarqué dans l’histoire), un seul d’entre eux s’avait monter à cheval. Il avait fallut leur donner des cours d’équitations accélérés. Ces « leçons » n’avaient eu comme résultat que de les faire tenir sur leurs montures, sans tomber au moindre pas esquissé par celles-ci. Les cavaliers étaient à présent à peu près présentables. Il restait à Saroumane, qu’une seule chose à faire et il pourrait dormir tranquillement pendant que les cavaliers fairaient leurs boulots. Hélas, ce n’était pas la chose la plus facile . Il se retourna vers les 10 paires d’yeux qui le regardaient. Il leur lança un regard désespéré à faire fondre un iceberg (un regard digne de Quatre dans Gundam Wing) puis demanda d’une voix plaintive :
_Vous pourriez au moins mettre une cape noire, parce que les neufs cavaliers noirs qui sont dix et qui porte des habits flanchant, sa le fait pas ! J’veux dire que toute la terre du milieu va se foutre de nous…
Devant un si joli minois, les cavaliers acceptèrent. Saroumane fut alors conduit vers ses appartements dans lesquels il resta enfermé trois jours durant… il paraît qu’un orc y aurait entendu des sanglots étouffé mais ce n’est qu’une rumeurs.
***
Notes de Matou :
Pffuu, c’est crevant d’écrire une fic ! Le pire c’est que moi et Dirole on a beaucoup d’idées mais faut tout mettre en place avant de pouvoir les écrire. Bon, alors quelques points important pour ceux qu’aurais pas compris (et j’lai comprend, moi-même je m’y pers^^) Alors par quoi je commence ? Rochel est un personnage d’Angel Sanctuary, pour résumer c’est l’ange préferé de Dieux et tout le monde l’adore pour sa beauté (même s’il ressemble un peu à une fille). Il peut transformer les humains en golem et envouter les anges en leurs faisant avaler une gelule contenant une de ses plumes. Voilà pourquoi il est étonné quand Seifer s’étrangle avec… euh, pardon aux fans de Seifer (s’il y en a ) mais Dirole ne l’aime pas alors j’vais avoir du mal à l’empechée de projeter sa colère sur lui^^
Katan est aussi un personnage d’Angel Sanctuary et il a avaler une gelule de Rochel, c’est pourquoi il agit très bizarrement et ne souhaite que servir son maître.
Ensuite, comme on avait parler du téléphone des mages, sa ma fait marrer de penser qu’ils avaient un forfait ou un truc comme sa (mais j’suis peut être la seul que sa fait rire). Voilà, la partit Les plus petites choses peuvent être les plus importantes à été intégralement écrite par Dirole du début jusqu’à l’apparition des deux protagonistes. Pour Gandalf, on va changer son caractère alors désolée pour les fans (ya toujours un fan de quelque chose alors je croit que je vais m’excuser une fois pour toute et sa ira).
Sinon, on va bien rigoler avec la Dirole qui a de nouveau souvenir et la pauvre Matou qui va se retrouver seule au milieu de tout sa^^ nan j’rigole, ma très chère Dirole sera à mes côtés (ton très ironique) Et pi le passage avec les chevaliers qui ma bien fait marrer ( je précise qu’on va leurs donner beaucoup plus d’importance que dans le livre ou l’on ne les retrouve que pour la bataille finale. Un si belle brochette de méchants sa s’exploite mais chut… j’en dit pas plus, on les découvrira au cour de l’histoire) Bon, c’est à peut près tout, si vous avez rien pigé à l’histoire, vous pouvez toujours m’écrire à MatooSelphieroth@hotmail.com j’essayerait d’éclairer vos lanternes^^
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